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Plotino - Tratado 34,14 (VI, 6, 14) — A comparação do um com um relativo é injustificada
sábado 18 de junho de 2022, por
Míguez
14. En cuanto a lo que se ha dicho de la unidad con referencia a lo relativo, deberá afirmarse con buenas razones que la unidad no es uno de esos relativos que pierda su ser si su correlativo sufre, o si ambos no sufren. Conviene, por el contrario, si el objeto ha de salir de su ser, que sufra la privación del uno, dividiéndose en dos o en más de dos. Si, pues, dividimos una masa en dos y no se destruye como tal masa, es claro que había en ella, además del sujeto, pero añadido a él, la unidad que se ha perdido como consecuencia de la división. Ahora bien, lo que unas veces está presente y otras desaparece en un mismo ser, ¿no deberemos incluirlo entre los seres, allí donde precisamente se da? El uno se da como accidente en esos seres, pero tiene su ser en sí mismo; se aparece tanto en las cosas sensibles como en las inteligibles; se da como accidente en las cosas que son posteriores a él, pero sin dejar de existir en sí en los inteligibles y en el primero de entre todos ellos, el Uno que es uno y luego ser. Diríase, si acaso, que el uno, sin sufrir nada, no sería uno sino dos contando con la adición de otra cosa; pero no se juzgaría rectamente. Porque el uno no llega a hacerse dos, tanto en el caso del primer uno al que se añade el segundo, como en el del segundo al que se añade el primero. Cada uno de los dos permanece siendo uno, tal como ya era. El término dos se afirma de ambos, pero separadamente y con respecto a cada uno de ellos seguimos diciendo uno. No haremos, pues, que dos o la diada sean por naturaleza una relación, porque si dos hubiese de ser considerado como una reunión de dos cosas, dos se aparecería naturalmente como una relación en ese sentido. Pero es evidente que la diada se nos muestra de manera contraria; porque si dividimos un objeto que es uno surge inmediatamente el dos.
No afirmemos, por tanto, que dos es una reunión o una división, para venir al concepto relativo. El mismo razonamiento seguiremos para cualquier número, ya que cuando una relación produce una cosa resulta imposible que da contraria produzca también la misma cosa, siempre claro está que se trate de la relación. ¿Cuál será aquí la causa decisiva? Una cosa es una por la presencia del uno y es dos por la presencia de la diada. Otro tanto, decimos en estos casos: una cosa es blanca por la presencia de lo blanco, bella por la presencia de lo bello, justa por la presencia de lo justo; o bien no le concedemos el ser ni a lo bello ni a lo justo y vemos en ellos tan sólo el efecto de una relación, como si lo justo, por ejemplo, proviniese de tal o cual relación, y lo mismo lo bello, que surgiría de nuestras propias disposiciones, pero sin base alguna en el objeto que las provocase ni en nada extraño que se añadiese para que el objeto pareciese bello. Cuando se ve un objeto y se dice de él que es uno, puede decirse también con entera verdad que es grande, bello y mil otras cosas por el estilo. ¿Cómo, pues, no considerar el Uno del mismo modo que lo grande y la magnitud, o que lo dulce y lo amargo y las demás cualidades por el estilo? Porque no es posible que coloquemos la cualidad, cualquiera que sea, en la categoría de los seres, y no en cambio la cantidad continua ni la discontinua, aunque la cantidad continua se sirva de la discontinua para su medición. Si una cosa es realmente grande por la presencia de la magnitud, es también una, decimos, por la presencia del uno, dos por la presencia de la diada, y así en todos los casos sucesivos. El inquirir aquí cómo se produce la participación equivale a preguntarse por la participación común respecto a todas las formas. Pero habrá que decir que la década se aparece de una manera en las cosas discontinuas o continuas, y de otra en esa variedad de potencias que se reducen a la unidad. Es así cómo se asciende a la región de lo inteligible y cómo se llega a los números que no son percibidos en otras cosas sino que, ya en sí mismos, son los verdaderos números; esto es, a la década en sí, que no es una reunión de diez inteligibles.
Bouillet
XIV. Quant à ceux qui de l’un font un relatif, on peut leur répondre que l’un ne saurait perdre sa nature propre par suite de l’affection qu’un autre être éprouve sans qu’il soit lui-même affecté. Pour qu’il cesse d’être un, il faut qu’il éprouve la privation de l’unité en se divisant en deux ou plusieurs. Si, étant divisée, une masse devient deux sans être détruite en tant que masse, évidemment il y avait en elle outre le sujet l’unité, et elle l’a perdue parce que l’unité a été détruite par la division. Or cette même chose qui tantôt est présente et tantôt disparaît, nous devons la mettre au nombre des êtres partout où elle se trouve, et reconnaître que, bien qu’elle puisse être un accident des autres objets, elle existe néanmoins par elle-même, soit qu’elle se manifeste dans les êtres sensibles, soit qu’elle se trouve dans les êtres intelligibles : elle n’est qu’un accident dans les êtres postérieurs [les êtres sensibles], mais elle existe en soi dans les êtres intelligibles, surtout dans l’Être premier, puisqu’il est d’abord un, puis être.
Si l’on dit que, sans rien éprouver lui-même, l’un, par la simple addition d’une autre chose, n’est plus un, mais devient deux, on tombe dans l’erreur (52) : car l’un n’est pas devenu deux, pas plus que ce qui lui a été ajouté ou ce à quoi il a été ajouté; chacun d’eux demeure un, tel qu’il était, mais deux est affirmé de leur ensemble, et un de chacun d’eux pris séparément. Deux n’est donc point par sa nature une relation, non plus que la dyade (53). Si la dyade consistait dans la réunion [de deux objets], et qu’être réunis fût identique à faire deux, en ce cas la réunion constituerait deux, ainsi que la dyade. Or la dyade nous apparaît également dans un état contraire [à celui de la réunion de deux objets] : car deux peut être produit par la division d’un seul objet. Deux n’est donc ni réunion ni division, comme il le faudrait pour qu’il fût une relation. Le même raisonnement s’applique à tout nombre : car, lorsque c’est une relation qui engendre une chose, il est impossible que la relation contraire engendre la même chose et par conséquent que cette chose elle-même soit la relation.
Quelle est donc la cause principale [en vertu de laquelle les objets participent aux nombres]? Un être est un par la présence de l’un, et deux par la présence de la dyade, comme il est blanc par la présence de la blancheur, beau par celle du beau, et juste par celle du juste. Si l’on n’admet point cela, on sera réduit à soutenir que le blanc, le beau, le juste ne sont rien de réel, mais n’ont pour causes que de simples relations ; que le juste consiste dans telle relation avec tel ou tel être ; que le beau n’a pas d’autre fondement que l’affection que nous éprouvons, que l’objet qui parait beau n’a, soit par sa nature, soit par emprunt, rien qui soit capable de produire cette affection. Quand vous voyez un objet qui est un et que vous appelez un, il est en même temps grand, beau, et susceptible de recevoir une foule d’autres qualifications. Or, pourquoi l’un ne serait-il pas dans l’objet comme le grand et la grandeur, le doux et l’amer, ainsi que les autres qualités? On n’a point le droit d’admettre que la qualité, quelle qu’elle soit, fait partie du nombre des êtres, tandis que la quantité en serait exclue, ni que la quantité continue est quantité, tandis que 392 la quantité discrète ne serait point quantité; et cela d’autant moins que la quantité continue est mesurée par la quantité discrète. Ainsi, de même qu’un objet est grand par la présence de la grandeur, de même il est un par celle de l’un, il est deux par celle de la dyade, [dix par celle de la décade] (54), etc. Si l’on demande comment s’opère la participation des choses à l’un et aux nombres, nous répondrons que cette question se rattache à la question générale de la participation des choses aux formes intelligibles. Du reste, il faut admettre que la décade se présente sous des aspects divers selon qu’on la considère comme existant soit dans les quantités discrètes, soit dans les quantités continues, soit dans tant de grandes forces ramenées à l’unité, soit enfin dans les intelligibles auxquels on s’élève ensuite. C’est en eux en effet qu’on trouve les nombres véritables (55) (ἀληθέστατοι ἀριθμοί), qui, au lieu d’être considérés dans d’autres êtres, existent en eux-mêmes : telle est la Décade en soi (αὐτοδεκὰς), qui existe par elle-même, au lieu d’être simplement une décade composée de quelques intelligibles (56).
Guthrie
UNITY ONLY AN ACCIDENT IN SENSE-THINGS, BUT SOMETHING IN ITSELF IN THE INTELLIGIBLE.
14. As to those who consider unity as relative, they might be told that unity could not lose its proper nature merely as a result of the affection experienced by some other being without itself being affected. It cannot cease being one without experiencing the privation of unity by division into two or three. If, on being divided, a mass become double without being destroyed in respect to its being a mass, evidently, besides the subject, there existed unity; and the mass lost it because the unity was destroyed by the division. So tthis same thing which now is present, and now disappears, should be classified among essences wherever it be found; and we must recognize that, though it may be an accident of other objects, it nevertheless exists by itself, whether it manifest in sense-objects, or whether it be present in intelligent entities; it is only an accident in posterior (beings, namely, the sense-objects); but it exists in itself in the intelligible entities, especially in the first Essence, which is One primarily, and only secondarily essence.
TWO IS NOT AN ADDITION TO ONE, BUT A CHANGE (REFUTATION OF ARISTOTLE ).
The objection that unity, without itself experiencing anything, by the mere addition of "something else, is no longer one, but becomes double, is a mistake. The one has not become two, and is not that which has been added to it, nor that to which something has been added. Each of them remains one, such as it was; but two can be asserted of their totality, and one of each of them separately. Two therefore, not any more than "pair," is by nature a relation. If the pair consisted in the union (of two objects), and if "being united" were identical with "to duplicate," in this case the union, as well as the pair, would constitute two. Now a "pair" appears likewise in a state contrary (to that of -the reunion of two objects); for two may be produced by the division of a single object. Two, therefore, is neither reunion nor division, as it would have to be in order to constitute a relation.
OBJECTS PARTICIPATE IN NUMBERS TUST AS THEY PARTICIPATE IN ALL INTELLIGIBLE ENTITIES.
What then is the principal cause (by virtue of which , objects participate in numbers) ? A being is one by the presence of one; double, because of the presence i of the pair; just as it is white because of the presence of whiteness; beautiful, because of the presence of beauty; and just by that of justice. If that be not admitted, we shall be reduced to asserting that whiteness, beauty and justice are nothing real, and that their only causes are simple relations; that justice consists in some particular relation with some particular being; that beauty has no foundation other than the affection that we feel; that the object which seems beautiful possesses nothing capable of exciting this affection either by nature, or by acquirement. When you see an object that is one, and that you call single, it is simultaneously great, beautiful, and susceptible of receiving a number of other qualifications. Now why should unity not inhere in the object as well as greatness and magnitude, sweetness and bitterness, and other qualities ? We have no right to admit that quality, whatever it be, forms part of the number of beings, whilst quantity is excluded; nor to limit quantity to continuous quantity, while discrete quantity is excluded from the conception of quantity; and that so much the less as continuous quantity is measured by discrete quantity. Thus, just as an object is great because of the presence of magnitude, as it is one by the presence of unity; so is it double because of the presence of being a pair, and so forth.
THE VERITABLE NUMBERS ARE INTELLIGIBLE ENTITIES.
Should we be asked to describe the operation of the participation of objects in unity and in numbers, we shall answer that this question connects with the more general problem of the participation of objects in intelligible forms. Besides, we shall have to admit that the decad presents itself under different aspects, according as it is considered to exist either in discrete quantities, or in continuous quantities, or in the reduction of many great forces to unity, or, last, into the intelligible entities to which we are later raised. It is among them, indeed, that are found the veritable Numbers (spoken of by Plato,) which, instead of being considered as discovered in other (beings), exist within themselves; such is the Decad-in-itself, which exists by itself, instead of simply being a decad composed of some intelligible entities.
MacKenna
14. To the argument touching relation we have an answer surely legitimate:
The Unity is not of a nature to lose its own manner of being only because something else stands in a state which it does not itself share; to stray from its unity it must itself suffer division into duality or the still wider plurality.
If by division the one identical mass can become a duality without loss of quantity, clearly the unity it possessed and by this destructive division lost was something distinct. What may be alternatively present and absent to the same subject must be classed among Real-Beings, regardless of position; an accidental elsewhere, it must have reality in itself whether it be manifested in things of sense or in the Intellectual - an accidental in the Laters but self-existent in the higher, especially in the First in its aspect of Unity developing into Being. We may be told that Unity may lose that character without change in itself, becoming duality by association with something else; but this is not true; unity does not become two things; neither the added nor what takes the addition becomes two; each remains the one thing it was; the duality is predicable of the group only, the unity remaining unchanged in each of those unchanged constituents.
Two and the Dyad are not essentially relative: if the only condition to the construction of duality were meeting and association such a relation might perhaps constitute Twoness and Duality; but in fact we see Duality produced by the very opposite process, by the splitting apart of a unity. This shows that duality - or any other such numerical form - is no relation produced either by scission or association. If one configuration produces a certain thing it is impossible that the opposite should produce the same so that the thing may be identified with the relation.
What then is the actual cause?
Unity is due to the presence of Unity; duality to that of Duality; it is precisely as things are white by Whiteness, just by Justice, beautiful by Beauty. Otherwise we must reject these universals and call in relation here also: justice would arise from a certain attitude in a given situation, Beauty from a certain pattern of the person with nothing present able to produce the beauty, nothing coming from without to effect that agreeable appearance.
You see something which you pronounce to be a unity; that thing possesses also size, form, and a host of other characteristics you might name; size, bulk, sweetness, bitterness and other Ideas are actually present in the thing; it surely cannot be thought that, while every conceivable quality has Real-Being, quantity [Number] has not and that while continuous quantity exists, discrete quantity does not and this though continuous quantity is measured by the discrete. No: as size by the presence of Magnitude, and Oneness by the presence of Unity, so with Duality and all the other numerical modes.
As to the How of participation, the enquiry is that of all participation in Ideal Forms; we must note, however, that the presence of the Decad in the looser totals is different from its presence in the continuous; there is difference again in its presence within many powers where multiplicity is concentred in unity; arrived at the Intellectuals, there too we discover Number, the Authentic Number, no longer entering the alien, Decad-Absolute not Decad of some particular Intellectual group.
Ver online : Plotino
- Plotino - Tratado 34,1 (VI, 6, 1) — Sobre os Números — Preliminares
- Plotino - Tratado 34,2 (VI, 6, 2) — O Ilimitado
- Plotino - Tratado 34,3 (VI, 6, 3) — O Ilimitado
- Plotino - Tratado 34,4 (VI, 6, 4) — Sobre o número inteligível
- Plotino - Tratado 34,5 (VI, 6, 5) — Hipóteses: o número como noção; o número como acidente
- Plotino - Tratado 34,6 (VI, 6, 6) — O número como existindo em si
- Plotino - Tratado 34,7 (VI, 6, 7) — Como alcançar à contemplação do inteligível
- Plotino - Tratado 34,8 (VI, 6, 8) — O número está no Ser, antes do Pensamento e da Vida
- Plotino - Tratado 34,9 (VI, 6, 9) — O número está ao mesmo tempo no Ser e antes dele
- Plotino - Tratado 34,10 (VI, 6, 10) — O número matemático, imagem do inteligível
- Plotino - Tratado 34,11 (VI, 6, 11) — A década em si não é senão um conjunto de unidades
- Plotino - Tratado 34,12 (VI, 6, 12) — Não há unidade em si, somente unidades particulares
- Plotino - Tratado 34,13 (VI, 6, 13) — Há graus no um
- Plotino - Tratado 34,15 (VI, 6, 15) — Números numerados e números numerantes
- Plotino - Tratado 34,16 (VI, 6, 16) — Número substanciais e números monádicos
- Plotino - Tratado 34,17 (VI, 6, 17) — O número ilimitado
- Plotino - Tratado 34,18 (VI, 6, 18) — O número ilimitado: o número inteligível