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Plotino - Tratado 3,5 (III, 1, 5) — Refutação da opinião dos astrólogos (1)

domingo 29 de maio de 2022, por Cardoso de Castro

  

Míguez

5. Mas, tal vez no ocurran las cosas de esta manera; quizá lo gobiernen todo la traslación del cielo y el movimiento de los astros, de acuerdo con las posiciones que adopten entre sí a su paso por el zenit, a su salida, a su puesta y en los momentos de su conjunción. Según esto, pues, los adivinos realizan la predicción de lo que acontecerá en el universo y están en condiciones de decir cuál será la suerte y el pensamiento de cada uno. Se ve perfectamente cómo los animales y las plantas tienden a aumentar, a disminuir y a experimentar todo lo que acontece a los astros, y así unas regiones de la tierra difieren de otras en razón a su disposición respecto al universo y, sobre todo, al sol. Consecuencia de la naturaleza de estas regiones son, no sólo las plantas y los animales, sino también las formas que revisten los hombres, su tamaño, su color, sus deseos, sus ocupaciones y sus costumbres. Señor, pues, de todo, es el movimiento de traslación universal. Pero a esto habría que argüir en primer lugar que esta doctrina atribuye a los astros lo que realmente es propio de nosotros, como por ejemplo nuestras voluntades y nuestras pasiones, nuestros males y nuestros impulsos. Al no concedernos nada, nos abandona en el estado de piedras que experimentan el movimiento, pero no como hombres que obrasen por sí mismos y de acuerdo con su naturaleza. Debe dársenos, sin embargo, lo que es privativamente nuestro; hasta nosotros y a lo que es propio de nosotros habrán de llegar los efectos del universo, pero distingamos, con todo, las cosas que nosotros hacemos de las que sufrimos necesariamente, sin atribuirlas por entero a los astros. De las distintas regiones y de la peculiar diferencia de lo que nos rodea viene hasta nosotros una especie de calor o de enfriamiento en la mezcla, pero, asimismo, otras cosas vienen de nuestros progenitores. Somos, en la mayor parte de los casos, semejantes a nuestros padres por nuestra manera de ser y por las pasiones irracionales del alma. Y, a la vez, hombres que son semejantes por el país de origen  , resultan ser diferentes por su carácter y por su espíritu, como si estas dos cosas proviniesen realmente de otro principio. Podríamos hablar aquí convenientemente de la oposición entre la constitución física de los cuerpos y la naturaleza misma de los deseos. Porque, si verdaderamente se predice los acontecimientos de acuerdo con la posición de cada uno de los astros, reconócese sin duda que son producidos por ellos, mas también podría decirse de igual modo que los pájaros y todos los demás seres de que se sirven los adivinos para sus predicciones son los autores reales de esas cosas que anuncian.

Sobre todo esto aún podrán hacerse reflexiones más justas. Según se dice, los acontecimientos que anticipan los adivinos, de acuerdo con la posición de los astros, cuando se produce un nacimiento, no sólo son anunciados por los astros sino incluso realizados por ellos. Ahora bien, cuando se habla de la nobleza de nacimiento de un niño, como nacido de padre y madre ilustres, ¿cómo atribuirla a los astros si existía ya en los padres antes de que se produjese la situación de los astros que sirve para predecirla? La suerte de los padres se fundamenta a veces en el nacimiento de los hijos, y según aquélla llega a predecirse la de los hijos que todavía no han nacido. Se anuncia también, en este sentido, por la muerte de un hermano la de otro y, a su vez, por la de una mujer la de su marido, o viceversa. ¿Podría explicarse cómo la posición de los astros iba a producir unos efectos que se dicen provenir de los padres? Porque es claro que si los padres, que son anteriores, constituyen las causas verdaderas, nada de esto habrá que atribuir a los astros. La semejanza en los caracteres respecto de los padres indica que la belleza y la fealdad son algo propio de la familia, pero nunca algo dependiente del movimiento de los astros. Es conforme a razón que en un mismo tiempo y a la vez nacen animales de todas clases y hombres; para todos ellos, de acuerdo con la misma disposición de los astros, deberían contar los mismos caracteres. ¿Cómo, pues, nacen hombres y, además, otros seres, con las (mismas) figuras de los astros?

Bouillet

[5] Mais [dira-t-on], les choses ne se produisent pas ainsi, et leur disposition dépend du mouvement circulaire du ciel qui gouverne tout, du cours des astres, de leur situation relative au moment de leur lever, de leur coucher, de leur zénith, ou de leur conjonction (18). En effet, c’est d’après ces signes que l’on présage et que l’on prédit ce qui doit arriver, non seulement à l’univers, mais encore à chaque homme sous le rapport de l’esprit aussi bien que sous celui de la fortune. On voit que les autres animaux et les végétaux sont plus grands ou plus petits d’après l’espèce de sympathie qui existe entre eux et les autres, que toutes les autres choses éprouvent leur influence, que les régions diffèrent les unes des autres d’après leur rapport avec les astres et surtout avec le soleil, que de la nature de ces régions dépendent non seulement les caractères des plantes et des animaux, mais encore les formes des hommes, leur taille, leur couleur, leurs affections, leurs passions, leurs goûts et leurs moeurs. Ainsi, dans ce système, le cours des astres est la cause absolue de tout.

Voici notre réponse :

D’abord, celui qui soutient cette opinion attribue indirectement aux astres tout ce qui nous est propre, ces volontés et nos passions, nos vices et nos appétits : il ne nous accorde point d’autre rôle que de tourner comme des meules, au lieu de produire par nous-mêmes, comme il convient à des hommes, les actes qui appartiennent à notre nature. Cependant, il faut nous laisser ce qui nous appartient, admettre que l’univers se borne à exercer quelque influence sur ce que nous possédons déjà (19) par nous-mêmes et qui nous est réellement propre, enfin distinguer les faits où nous sommes actifs de ceux où nous sommes nécessairement passifs, et ne pas tout rapporter aux astres (20). Nous ne méconnaissons pas en effet que la différence des lieux et celle du climat aient de l’influence sur nous, nous donnent, par exemple, un tempérament froid ou chaud. Il en est de même de notre naissance : les enfants ne ressemblent-ils pas ordinairement à leurs parents par leurs traits, leur forme, et par quelques affections de l’âme irraisonnable? Néanmoins, s’ils leur ressemblent par la figure, parce qu’ils sont nés dans les mêmes lieux, ils en diffèrent considérablement par les moeurs et les pensées, parce que ces choses dérivent d’un tout autre principe. Nous pourrions encore invoquer ici à l’appui de cette vérité la résistance que l’âme oppose au tempérament et aux appétits. Veut-on que les astres soient les causes de toutes choses, parce que c’est en considérant leurs positions que l’on peut prédire ce qui doit arriver à chaque homme ? Il serait tout aussi raisonnable d’avancer que les oiseaux et les autres êtres que les augures contemplent pour en tirer des présages produisent les événements dont ils sont les signes.

Ceci nous conduit à déterminer avec exactitude quels sont les faits que l’on peut prédire d’après l’inspection des positions occupées par les astres qui président à la naissance d’un homme. Si, au lieu de se borner à affirmer que les astres indiquent ces faits, on prétend qu’ils les produisent, on est dans l’erreur. Quand, tirant l’horoscope d’un individu, on dit qu’il est né de parents nobles, soit du côté de son père, soit du côté de sa mère, comment peut-on attribuer à l’influence des astres la noblesse d’une naissance, puisque cette noblesse se trouvait déjà dans les parents avant que les astres n’eussent pris la position d’où l’on tire cet horoscope ? D’ailleurs les astrologues prétendent aussi découvrir la fortune des parents d’après la naissance des enfants, les dispositions et le sort des enfants qui ne sont pas encore nés d’après la condition des parents; ils annoncent également d’après l’horoscope d’un enfant la mort de son frère, d’après celui d’une femme la destinée de son mari et vice versa. Comment peut-on rapporter aux astres des choses qui sont évidemment des conséquences nécessaires de la condition des parents ? Car, ou ces antécédents sont des causes, ou les astres n’en sont pas. La beauté et la laideur des enfants, quand ils sont semblables à leurs parents, proviennent évidemment de ces derniers et non du cours des astres. D’ailleurs, il est probable qu’il naît au même moment une foule d’hommes et d’autres animaux ; or, ils devraient tous avoir la même nature puisqu’ils sont tous nés sous la même étoile. Comment se fait-il donc que, dans les mêmes positions, les astres produisent à la fois des hommes et d’autres êtres (21) ?

Bréhier

5. - Mais peut-être n’est-ce pas ainsi que les choses se passent ; peut-être tout est-il gouverné par la translation du ciel et le mouvement des astres qui déterminent chaque chose, selon les rapports de position qu’ils ont à leur passage au méridien, à leur lever, à leur coucher et selon leurs conjonctions. De fait, c’est d’après cela que les devins prédisent les futurs événements de l’univers, et en particulier savent dire à chacun quel sera son sort et quelles seront ses pensées. On voit bien les animaux et les plantes grandir, diminuer et subir d’autres actions en sympathie avec les astres ; les régions terrestres diffèrent les unes des autres selon leur rapport à l’univers et particulièrement au soleil ; or, de la nature de ces régions résultent non seulement les plantes et les animaux, mais les hommes avec leur forme, leur taille, leur teint, leurs sentiments, leurs désirs, leurs occupations et leurs mœurs. C’est donc le mouvement de translation de l’univers, qui est maître de toute chose. -À quoi il faut répondre d’abord que cette doctrine aussi, à sa manière, attribue aux astres ce qui est à nous, nos volontés et nos passions, nos vices et nos impulsions ; ne nous donnant rien, elle nous laisse à l’état de pierres qui subissent le mouvement, et non d’hommes qui agissent par eux-mêmes et d’après leur propre nature. Mais il faut nous donner ce qui est à nous ; en ce qui est à nous, en notre être propre doivent bien pénétrer des effets issus de l’univers ; mais il faut distinguer ce qui est notre action de ce que nous subissons nécessairement, et ne pas tout attribuer aux astres. Des régions et de la différence des milieux viennent en nous un échauffement ou un refroidissement dans le mélange [qui constitue notre corps] ; mais d’autres influences viennent aussi de ceux qui nous ont engendrés ; souvent nous sommes semblables à nos parents par nos traits et aussi par des passions irrationnelles de notre âme. Des hommes que leur pays a faits de type semblable, sont pourtant tous différents de caractère et d’esprit, comme si caractère et esprit venaient d’un principe autre [que le milieu physique]. Il conviendrait de parler ici de l’opposition entre le tempérament physique et la nature des désirs. Et si, parce que l’on prédit les événements d’après le rapport de position des astres, l’on suppose que ces événements sont produits par eux, il faudrait dire de même que les oiseaux et tous les êtres grâce auxquels prédisent les devins, sont les auteurs des choses qu’ils annoncent.

Mais voici encore, sur ce point, des considérations plus exactes. Les événements que les devins prédisent d’après le rapport de position des astres à la naissance d’un enfant, sont, disent-ils, non seulement annoncés mais produits par les astres. Mais lorsque l’on dit [en tirant l’horoscope d’un enfant], qu’il est de naissance noble, par son père ou par sa mère, comment dire que les astres produisent cette noblesse, puisqu’elle existait chez les parents, avant la situation des astres qui sert à la prédire ? D’ailleurs, ils prétendent connaître le sort des parents d’après l’horoscope des enfants ; d’après celui des pères, ils prédisent le caractère et le sort d’enfants qui ne sont pas encore nés ; ils annoncent, d’après l’horoscope d’un individu, la mort de son frère, d’après celui d’une femme, le sort de son mari, ou inversement. Comment donc, à la naissance d’un individu donné, la position des astres produirait-elle des effets qu’ils déclarent eux-mêmes venir de ses parents ? Si les parents, qui sont antérieurs à cette conjonction, sont les causes véritables, les astres ne le sont pas. D’autre part, si l’on ressemble à ses parents, c’est que la beauté et la laideur viennent de famille, et non du mouvement des astres. Il est constant, que, en un même moment, naissent des animaux de toute espèce et des hommes ; or tous les êtres, pour qui la conjonction des astres est la même, devraient avoir des caractères identiques. Comment donc, avec ces figures identiques des astres, naissent à la fois des hommes et d’autres êtres ?

Guthrie

RESTATEMENT OF THE ASTROLOGICAL THEORY OF FATE.

5. Others, again, insist that this is not the state of affairs. Their disposition depends on the circular movement of the heaven which governs everything, on the course of the stars, of their mutual relative position at the time of their rising, of their setting, of their zenith, or of their conjunction. Indeed, such are the signs on which are founded prognostications and predictions of what is to happen, not only to the universe, but also to each individual, both as to his fortunes and his thought. It is noticed that the other animals and vegetables increase or decrease according to the kind of sympathy existing between them and the stars, that all other things experience their influence, that various regions of the earth differ according to their adjustment with the stars, and especially the sun; that from the nature of these regions depend not only the character of the plants and animals, but also human forms, size, color, affections, passions, tastes, and customs. In this system, therefore, the course of the stars is the absolute cause of everything.

REFUTATION OF THE ASTROLOGICAL SYSTEM.

To this we answer that our astrologer attributes indirectly to the stars all our characteristics: will, passions, vices and appetites; he allows us no role other than to turn like mills, instead of responsibility, as befits men, producing actions that suit our nature. On the contrary, we should be left in possession of what belongs to us by the observation that the universe limits itself to exercising some influence on what we possess already thanks to ourselves, and which is really characteristic of us. Moreover, one should distinguish the deeds in which we are "active," from those in which we are necessarily "passive," and not deduce everything from the stars. Nobody, indeed, doubts that the differences of place and climate exert an influence over us, imparting to us, for instance, a cool or warmhearted disposition. Heredity also should be considered; for children usually resemble their parents by their features, form, and some affections of the irrational soul. Nevertheless, even though they resemble them by their facial features, because they are born in the same place, they may differ in habits and thoughts, because these things depend on an entirely different principle. In addition, we can adduce to the support of this truth the resistance which the soul offers to the temperament and to the appetites.’ As to the claim that the stars are the causes of everything, because one can predict what is to happen to each man from a consideration of their positions, it would be just as reasonable to assert that the birds and the other beings which the augurs consult as omens produce the events of which they are the signs.

HOROSCOPES QUESTIONED; THEY DO NOT ACCOUNT FOR SIMULTANEOUS DIFFERENCES.

This leads us to consider, more in detail, what sort of facts may be predicted according to the inspection of the positions occupied by the stars presiding over the birth of a man. They who, from the assertion that the stars indicate a man’s future, draw the consequence that the stars produce them, are in error. In some person’s horoscope which indicates birth from noble parents, on either maternal or paternal side, this nobility of birth cannot be attributed to the stars, as this nobility subsisted already in the parents before the stars had taken the position according to which the horoscope is cast. Besides, astrologers pretend they can discover the parent’s fortune from the birth of their children, and from the condition of the parents the disposition and fate of the unborn offspring. From a child’s horoscope, they announce his brother’s death; and from a woman’s horoscope, the fortunes of her husband, and conversely. It is unreasonable to refer to the stars things which evidently are necessary consequences of parental conditions. We then reach a dilemma: the cause lies either in these antecedent conditions, or in the stars. The beauty and ugliness of children, when they resemble their parents, must evidently be derived from them, and not from the course of the stars. Moreover, it is probable that at any one moment are born a crowd of human and animal young; now, inasmuch as they are born under the same star, they all ought to have the same nature. How does it then happen that, in the same positions, stars produce men and other beings simultaneously (as Cicero asks) ?

MacKenna

5. But perhaps the explanation of every particular act or event is rather that they are determined by the spheric movement - the Phora - and by the changing position of the heavenly bodies as these stand at setting or rising or in mid-course and in various aspects with each other.

Augury, it is urged, is able from these indications to foretell what is to happen not merely to the universe as a whole, but even to individuals, and this not merely as regards external conditions of fortune but even as to the events of the mind. We observe, too, how growth or check in other orders of beings - animals and Plants - is determined by their sympathetic relations with the heavenly bodies and how widely they are influenced by them, how, for example, the various countries show a different produce according to their situation on the earth and especially their lie towards the sun. And the effect of place is not limited to plants and animals; it rules human beings too, determining their appearance, their height and colour, their mentality and their desires, their pursuits and their moral habit. Thus the universal circuit would seem to be the monarch of the All.

Now a first answer to this theory is that its advocates have merely devised another shift to immolate to the heavenly bodies all that is ours, our acts of will and our states, all the evil in us, our entire personality; nothing is allowed to us; we are left to be stones set rolling, not men, not beings whose nature implies a task.

But we must be allowed our own - with the understanding that to what is primarily ours, our personal holding, there is added some influx from the All - the distinction must be made between our individual act and what is thrust upon us: we are not to be immolated to the stars.

Place and climate, no doubt, produce constitutions warmer or colder; and the parents tell on the offspring, as is seen in the resemblance between them, very general in personal appearance and noted also in some of the unreflecting states of the mind.

None the less, in spite of physical resemblance and similar environment, we observe the greatest difference in temperament and in ideas: this side of the human being, then, derives from some quite other Principle [than any external causation or destiny]. A further confirmation is found in the efforts we make to correct both bodily constitution and mental aspirations.

If the stars are held to be causing principles on the ground of the possibility of foretelling individual fate or fortune from observation of their positions, then the birds and all the other things which the soothsayer observes for divination must equally be taken as causing what they indicate.

Some further considerations will help to clarify this matter:

The heavens are observed at the moment of a birth and the individual fate is thence predicted in the idea that the stars are no mere indications, but active causes, of the future events. Sometimes the Astrologers tell of noble birth; "the child is born of highly placed parents"; yet how is it possible to make out the stars to be causes of a condition which existed in the father and mother previously to that star pattern on which the prediction is based?

And consider still further:

They are really announcing the fortunes of parents from the birth of children; the character and career of children are included in the predictions as to the parents - they predict for the yet unborn! - in the lot of one brother they are foretelling the death of another; a girl’s fate includes that of a future husband, a boy’s that of a wife.

Now, can we think that the star-grouping over any particular birth can be the cause of what stands already announced in the facts about the parents? Either the previous star-groupings were the determinants of the child’s future career or, if they were not, then neither is the immediate grouping. And notice further that physical likeness to the parents - the Astrologers hold - is of purely domestic origin: this implies that ugliness and beauty are so caused and not by astral movements.

Again, there must at one and the same time be a widespread coming to birth - men, and the most varied forms of animal life at the same moment - and these should all be under the one destiny since the one pattern rules at the moment; how explain that identical star-groupings give here the human form, there the animal?


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