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Essai sur Parménide d’Elée - Francis Riaux

quarta-feira 19 de novembro de 2008, por Cardoso de Castro

  

TABLE DES MATI  ÈRES.

PREMIÈRE PARTIE. INTRODUCTION ET BIOGRAPHIE.

I. Bibliographie. — Travaux d’Henri Estienne,

Scaliger, Fulleborn, et de MM. Brandis, Cousin  , et Karsten.

Obscurité du système de Parménide  .........

Joseph Scaliger et Henri Estienne recueillent ses vers

Editions de Fulleborn et de M. Amédée Peyron

Mémoire de M. Brandis sur l’Ecole d’Elée

Ouvrage de M. Karsten sur Parménide

Des autres écrits sur l’Eléatisme

II. Biographie. — Discussion chronologique sur la naissance de Parmenide ; son voyage a Athènes; ses disciples.

Parménide naquit à Elée

Assertions de Diogène de Laërte et de Platon   sur l’époque de la naissance de Parménide

Examen de ces deux témoignages

Opinion de MM. Cousin et Karsten sur ce point de chronologie

Comment on peut concilier Platon et Diogène de Laërte

Détail sur la vie de Parménide ; ses relations avec les Pythagoriciens et avec Xénophane  

A-t-il donné des lois à sa patrie ?

Voyage de Parménide et de Zenon à Athènes

Ses disciples

De l’enseignement de Parménide

III. Valeur littéraire du poème sur la nature. — Authenticité dès fragments qui en subsistent.

Des diverses parties de ce poème

Des fragments qui en restent

Aristote   a-t-il écrit Un livre contre Parménide ?

SECONDE PARTIE. DOCTRINE.

I. Ce qu’était l’Éléatisme avant Parménide.

De l’Idéalisme pythagoricien, et de Xénophane

II. Parménide renouvelle l’Éléatisme. — Caractère général de son systeme ; opposition de la raison et des sens ; séparation absolue des deux parties de sa doctrine.

Deux parties dans la doctrine de Parménide

Examen de l’opinion de Philoponus   sur la séparation absolue de ces deux parties

III. Point de départ de la doctrine de la vérité. — Opposition de l’être et du non-être.

De la conception de l’être en général

Distinction de l’être et du non-être

IV. Ce que c’est que l’être.

Définition de l’être

Le non-être ne saurait être exprimé

V. Unité absolue de l’être. — Comment Parménide l’établissait.

Le premier attribut de l’être, c’est l’absolue unité.

Diverses démonstrations de ce principe

Argument en faveur de l’unité de l’être, reproduit par Porphyre  

Caractère de l’unité éléatique

VI. L’être est continu et indivisible.

La continuité de l’être sort de son unité

L’être est indivisible

VII. Immobilité absolue de l’être dans l’espace.

L’être absolu est immobile

Distinction de l’immobilité de l’être absolu d’avec ce que nous appelons mouvement et repos

Objection de Proclus   contre l’immobilité de l’être

VIII. Immobilité absolue de l’être dans la durée. — L’être ne peut ni naître, ni mourir; il est éternel.

L’immobilité de l’être dans la durée est le corollaire de l’immobilité de l’être dans l’espace

Démonstration qu’en donne Parménide

Témoignages des écrivains de l’antiquité sur ce point de la doctrine éléatique

Simplicius   adopte l’argumentation de Parménide sur l’immobilité de l’être

Objection d’Alexandre d’Aphrodisée

Réfutation d’Alexandre d’Aphrodisée par Simplicius

Critique d’une conclusion de Simplicius

IX. L’être absolu est parfait.

L’être ne manque de rien

Il est parfait et sphérique

Que les anciens trouvaient dans la figure de la sphère un symbole de la perfection

Comment Parménide et Mélissus ne se contredisent pas au sujet de l’infinité de l’être

X. Identité absolue de l’être et de la pensée de l’être.

Comment la pensée qui conçoit l’être est adéquate et identique à l’être lui-même

Interprétation néoplatonicienne de ce principe

XI. Exposition de la physique ou cosmologie de Parménide. — Caractère de cette partie de sa doctrine.

Des choses de l’opinion

La vérité n’est en rien perceptible aux sens

XII. Deux principes des choses , le feu et la nuit.

Deux principes dans la nature, d’un côté, le feu ou la lumière, de l’autre, la nuit ou la matière épaisse et lourde

Ces deux principes ne sont point séparés

Action de ces principes

XIII. Théorie de la formation de l’univers. — Comment le monde est composé de trois parties

Des différents cercles célestes

La nécessité règne en souveraine au milieu des trois parties de l’univers

XIV. Description des différentes parties du monde.

Problèmes queParménide résolvait dans sa physique

Des divers cercles de feu et de lumière

De la voie lactée

Des astres

De la terre; de sa rondeur

Des tremblements de terre

XV. Solutions de Parménide au sujet de quelques problemes particuliers. — valeur de sa cosmologie.

Origine du genre humain

Nature de l’âme

Identité de la sensation et de la pensée

Les âmes ne périssent pas d’une manière complète

Comment le monde doit finir un jour

Caractère général de la cosmologie de Parménide.

TROISIÈME PARTIE. INFLUENCE ET RÉSULTATS DE LA DOCTRINE DE PARMÉNIDE DANS L’ANTIQUITÉ.

I. L’Éléatisme après Paiménide. — Caractère et conséquences de la lutte de Zenon contre l’Empirisme.

Nécessité d’une lutte entre l’Empirisme et l’Éléatisme

Rôle de Zenon dans cette lutte

Les Atomistes relèvent l’Empirisme

II Mélissus. — Ce que devint l’Éléatisme entre ses mains.

Mélissus modifie l’Éléatisme

Trois arguments de Mélissus en faveur de l’immobilité de l’être

Il distingue l’être de la matière

Critique des raisonnements de Mélissus

III. Les sophistes. — Scepticisme de Gorgias.

Résultats de la lutte élevée entre lesEmpiristes et lesÉléates

Scepticisme des sophistes

Argumentation de Gorgias contre les trois solutions que Parménide avait indiquées sur le problème de la recherche de la vérité

IV. Unité de l’être de l’école Mégarique. — Dialectique de cette école. — Son scepticisme sur le monde extérieur.

Unité de l’être d’Euclide

Attaques de Diodore Cronus contre la connaissance sensible

Dialectique des Mégariques

V. Platon. — Importance de ses travaux sur l’Éléatisme. — Rôle du langage dans la formation de nos connaissances. — distinction des genres et des êtres particuliers. — Speusippe et Xénocrate.

Critique de l’Empirisme par Platon

Du Parménide et du Sophiste

But que se propose Platon dans sa critique de l’Éléatisme

Des rapports de la parole et de la pensée

Comment Platon ramène les conceptions de l’être et de l’unité à des idées de genres

Définition platonicienne de l’être

Que le résultat du Parménide est identique à celui du Sophiste

Valeur de la critique de l’Éléatisme par Platon

Speusippe et Xénocrate

VI. Aristote. — Le système de l’unité absolue apprécié du point de vue péripatéticien. — Eudème et Théophraste.

Méthode scientifique du Péripatétisme

Sévérité d’Aristote à l’égard des Éléates

Distinction de l’être absolu, et de l’être considéré dans les différents modes de l’existence

Objections d’Aristote contre l’unité de l’être.

Objections d’Aristote contre l’immobilité de l’être.

Ce que valent ces objections

Aristote cherche à montrer qu’il y a contradiction entre l’unité absolue et l’indivisibilité de l’être

Appréciation de la critique de l’Éléatisme par Aristote

Eudème et Théophraste; ce que devient l’Eléatisme après Aristote

VII. Idéalisme unitaire des Alexandrins. — Plotin   , Proclus, Jean Philopon   et Simplicius.

Caractère idéaliste de l’école d’Alexandrie

Plotin

Proclus; son opinion sur le Parménide et sur l’Éléatisme

Jean Philopon

Simplicius ; il critique l’Eléatisme

QUATRIÈME PARTIE. APPRÉCIATION DE LA DOCTRINE DE PARMÉNIDE.

I. Resume de son système

II. Ce qu’il y a de faux dans l’Éléatisme

III. Valeur veritable de l’Éléatisme

IV. Conclusion

APPENDICE.

Texte et traduction des fragments

Index des auteurs cités par M. Karsten


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