On qualifie volontiers de « panthéisme» la tendance adoratrice qui en résulte, en oubliant, d’une part que ce vocable ne désigne que la réduction du Divin au monde visible, et d’autre part que Dieu est réellement immanent au monde – sans quoi celui-ci ne pourrait exister -, à divers degrés et sans préjudice de sa rigoureuse transcendance.