A bien des égards, l’œuvre de M. Scheler apparaît comme le complément des premières recherches husserliennes d’une phénoménologie des essences. Elle s’inscrit dans la tradition de l’intuitionnisme qui la caractérise. Mais, alors que Husserl a porté son intérêt sur la sphère logique et objective des essences pures, restaurant avant tout la possibilité d’une omni-communication du savoir, c’est au monde dans sa réalité a-théorique, axiologique, affective, éthique, que Scheler consacre ses (…)
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Schérer : Une solution phénoménologique du problème de la communication
16 de julho de 2009, por Cardoso de Castro -
Schérer: ELUCIDATION THEORIQUE DES FONDEMENTS DE LA COMMUNICATION
26 de março de 2009, por Cardoso de CastroCHAPITRE I - THEORIE DE LA CONNAISSANCE
1. - Généralités
Les problèmes philosophiques auxquels conduit l’idée d’une science positive de la communication paraissent être d’abord ceux d’une théorie de la connaissance. De quelque manière en effet que nous envisagions une expérience psychique ou des lois de type logico-mathématique de la communication, elles impliquent une présupposition épistémologique : la possibilité pour un sujet de n’être pas limité au « contenu » de la conscience (…) -
Schérer : La forme symbolique comme fondement de la communication (E. Cassirer)
15 de janeiro de 2009, por Cardoso de CastroV. - La forme symbolique comme fondement de la communication (E. Cassirer)
Voir dans la forme symbolique en général et plus précisément dans le langage le fondement de la communication humaine, c’est d’abord comprendre que le langage n’est pas un simple « instrument » de communication. Cette formulation n’est paradoxale qu’en apparence : traiter la langue comme moyen, c’est supposer que nous ayons la possibilité de définir en dehors d’elle des réalités qui, par elle, entrent en (…) -
Schérer : L’ANALYSE PHENOMENOLOGIQUE DE LA COMMUNICATION - Généralités
12 de junho de 2009, por Cardoso de CastroEn abordant la phénoménologie, nous ne quittons pas tout d’abord le terrain d’une théorie de la connaissance; le problème posé à la réflexion reste toujours celui de la connaissance d’autrui comme préliminaire théorique à la possibilité de toute communication. Et pourtant, nous nous trouvons en présence d’une conversion de perspectives radicale par rapport aux théories précédemment envisagées. Pour la pensée contemporaine, celles-ci paraissent même ne garder qu’un intérêt historique, et (…)