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The Wisdom of Sri Nisargadatta Maharaj
Robert Powell (WNM) – Preciosidades de Nisargadatta
Sayings that may turn your life around
sexta-feira 9 de setembro de 2022, por
Ter seu ser fora deste corpo de nascimento e morte, e todos seus problemas serão solucionados. Eles existem porque se acredita nascido para morrer . Desiluda-se e seja livre. Você não é uma pessoa .
français
Ce qui arrive au corps et à l’esprit n’est peut-être pas en votre pouvoir pour changer, mais vous pouvez toujours mettre fin à votre imagination en tant que corps et esprit. Quoi qu’il arrive, rappelez-vous que seul votre corps et votre esprit sont affectés, pas vous-même.
La maturité spirituelle réside dans la volonté de laisser aller tout. L’abandon est le premier pas. Mais le véritable abandon consiste à réaliser qu’il n’y a rien à abandonner, car rien n’est à vous. C’est comme un sommeil profond - vous n’abandonnez pas votre lit quand vous vous endormez, vous l’oubliez.
Acceptez que, absorbé dans de petites affaires personnelles, vous ayez oublié ce que vous êtes; essayer de ramener la mémoire perdue à travers l’élimination du connu.
L’esprit s’intéresse à ce qui se passe, tandis que la conscience s’intéresse à l’esprit lui-même. L’enfant est après le jouet, mais la mère regarde l’enfant, pas le jouet.
Après tout, il n’y a pas d’esprit différent des pensées qui vont et viennent en obéissant à leurs propres lois, pas aux vôtres. Ils ne vous dominent que parce que vous vous intéressez à eux. C’est exactement comme Christ a dit "Ne résistez pas au mal". En résistant au mal, vous le renforcez simplement.
Une fois que vous connaissez votre esprit et ses pouvoirs miraculeux, et que vous enlevez ce qui l’a empoisonné - l’idée d’une personne séparée et isolée - vous le laissez seul pour faire son travail parmi les choses pour lesquelles il est bien adapté. Garder l’esprit à sa place et sur son propre travail est la libération de l’esprit.
Rappelez-vous, vous ne pouvez pas abandonner ce que vous ne savez pas. Pour aller au-delà de vous-même, vous devez vous connaître.
Nourrir les idées: «Je suis un pécheur, je ne suis pas un pécheur» est un péché. S’identifier au particulier, c’est tout le péché. L’impersonnel est réel, le personnel apparaît et disparaît.
Etre un être vivant n’est pas l’état ultime: il y a quelque chose au-delà, beaucoup plus merveilleux, qui n’est ni être ni non-être, ni vivant ni non-vivant. C’est un état de pure conscience, au-delà des limites de l’espace et du temps. Une fois que l’illusion que le corps-esprit est soi-même est abandonnée, la mort perd sa terreur, elle devient une partie de la vie.
Dans le grand miroir de la conscience, les images apparaissent et disparaissent, et seule la mémoire leur donne la continuité. Et la mémoire est matériellement destructible, périssable, transitoire. Sur de telles bases fragiles, nous construisons un sentiment d’existence personnelle - vague, intermittent, onirique. Cette vague persuasion: «Je suis un tel» obscurcit l’état immuable de pure conscience et nous fait croire que nous sommes nés pour souffrir et mourir.
Tout le monde voit le monde à travers l’idée qu’il a de lui-même ... Si vous vous imaginez séparé du monde, le monde apparaîtra séparé de vous et vous expérimenterez le désir et la peur. Je ne vois pas le monde comme séparé de moi, et donc je n’ai rien à désirer ou à craindre.
La sagesse consiste à ne jamais oublier le soi comme la source toujours présente de l’expérimentateur et de son expérience.
Original
What happens to the body and the mind may not be within your power to change, but you can always put an end to your imagining yourself to be body and mind. Whatever happens, remind yourself that only your body and mind are affected, not yourself.
Spiritual maturity lies in the readiness to let go of everything. The giving up is the first step. But the real giving up is in realizing that there is nothing to give up, for nothing is your own. It is like deep sleep—you do not give up your bed when you fall asleep, you just forget it.
Accept that, engrossed in petty personal affairs, you have forgotten what you are; try to bring back the lost memory through the elimination of the known.
Mind is interested in what happens, while awareness is interested in the mind itself. The child is after the toy, but the mother watches the child, not the toy.
After all, there is no such thing as mind apart from thoughts which come and go obeying their own laws, not yours. They dominate you only because you are interested in them. It is exactly as Christ said “Resist not evil.” By resisting evil, you merely strengthen it.
Once you know your mind and its miraculous powers, and remove what poisoned it—the idea of a separate and isolated person—you just leave it alone to do its work among things for which it is well suited. To keep the mind in its own place and on its own work is the liberation of the mind.
Remember, you cannot abandon what you do not know. To go beyond yourself, you must know yourself.
To nourish the ideas: “I am a sinner, I am not a sinner,” is a sin. To identify oneself with the particular is all the sin there is. The impersonal is real, the personal appears and disappears.
To be a living being is not the ultimate state: there is something beyond, much more wonderful, which is neither being nor non-being, neither living nor non-living. It is a state of pure awareness, beyond the limitations of space and time. Once the illusion that the body-mind is oneself is abandoned, death loses its terror, it becomes a part of living.
In the great mirror of consciousness images arise and disappear, and only memory gives them continuity. And memory is material—destructible, perishable, transient. On such flimsy foundations we build a sense of personal existence—vague, intermittent, dreamlike. This vague persuasion: “I am so and so” obscures the changeless state of pure awareness and makes us believe that we are born to suffer and to die.
Everybody sees the world through the idea he has of himself... If you imagine yourself as separate from the world, the world will appear as separate from you and you will experience desire and fear. I do not see the world as separate from me, and so there is nothing for me to desire or fear.
Wisdom lies in never forgetting the self as the ever-present source of both the experiencer and his experience.
Ver online : Nisargadatta Maharaj