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Histoire et théorie du symbolisme religieux

Abbé Auber: Structure de l’oeuvre

Tomes 1-4

sexta-feira 14 de março de 2008, por Cardoso de Castro

      

Histoire et théorie du symbolisme religieux avant et depuis le Christianisme (résumé du tome I)

Histoire et théorie du symbolisme religieux avant et depuis le christianisme, Tome I; Tome II; Tome III; Tome IV

      

DU SYMBOLISME DANS L’ANTIQUITÉ.

  • CHAPITRE PREMIER. Introduction.
    • Merveille de la parole humaine
    • Nécessité de l’écriture
    • L’une et l’autre supposent d’autres signes indispensables
    • Fréquence des images dans toutes les langues
      • et dans toute, la vie humaine
    • But de ce livre : le symbolisme de l’art chrétien
    • Définitions du symbole, et différents sens de ce mot
    • Ce qu’est le symbole religieux en particulier ; science du symbolisme
    • Motif et but de ses enseignements actuels, méconnus du plus grand nombre
    • L’auteur a voulu éclairer sur ce point
    • Importance de cette étude pour les ecclésiastiques
    • Plan général de cet ouvrage
    • Démontrer l’universalité du symbolisme
    • Il s’applique aux religions antiques
    • Aux coutumes et usages des diverses conditions sociales
    • Comment le christianisme a dû l’adopter pour l’enseignement de sa doctrine
      • comme dans son architecture et ses autres arts plastiques
    • D’où vient le long oubli qu’on en a fait
    • Notre méthode dans le développement de cette histoire
  • CHAPITRE II. Les langues écrites.
    • Les signes symboliques essentiellement liés au langage humain
    • Formes originelles de l’écriture
    • Usage primitif du dessin
    • Prompte modification de cette méthode
    • Écriture hiéroglyphique des Égyptiens
    • Inscriptions juives du Sinaï
    • D’autres peuples en font usage
    • Combien fut populaire l’emploi de ce moyen
    • Le symbolisme succède aux signes purement figuratifs
    • Symboles des idées abstraites
    • Symbolisation des signes alphabétiques
    • Symbolisme de l’écriture chinoise
  • CHAPITRE III. Les langues parlées.
    • Diverses formes du symbolisme. Il existe jusque dans les mots de chaque langue
    • Erreurs de quelques philosophes sur l’origine des langues
    • Sentiment de la Bible  , seul admissible
    • Symbolisme des noms donnés par Adam   aux animaux
    • Conformité des langues orientales et de la langue hébraïque ; le symbolisme naturel à chacune
    • Parallèle des langues de l’Europe et de l’Inde
    • Les noms propres hébreux, et leur signification figurative
    • Application du même principe aux noms des anges
    • Ce fait, preuve providentielle de la religion
    • Exemple tiré du livre de Tobie
    • Les noms géographiques moins sensibles à cette influence chez les Hébreux
    • Même symbolisme des noms propres dans la langue grecque
    • Autre observation relative à la langue latine
    • Cet usage s’est perpétué dans les langues modernes
  • CHAPITRE IV. Les sciences.
    • Conséquence de ce qui précède dans les symboles scientifiques
    • Symbolisme dans les chiffres arithmétiques et algébriques
      • et dans les signes géom  étriques
    • Nombres chaldéens
    • Dactylologie des anciens venue jusqu’à nous
    • Signes astronomiques
    • La métallurgie et la chimie
    • La musique
    • La danse  
  • CHAPITRE V. Les hiéroglyphes égyptiens.
    • La simplicité primitive des hiéroglyphes se complique forcément de signes plus obscurs
    • Initiations antiques protégées par ces écritures et justifiées dans leur but primitif
    • Les idées mythologiques ont une autre source
    • Causes véritables du polythéisme
    • La notion des anges confondue avec celle de Dieu  
    • Les passions favorables à l’idolâtrie
    • L’Egypte, berceau des fausses croyances
    • Origine de Jupiter  , et ses symboles
    • La Trinité divine obscurcie dans l’histoire du Jupiter païen
    • Traditions bibliques dénaturées sur la chute   des anges
    • Idée du maître des dieux dans l’art du paganisme
    • Les personnages mythologiques sont presque tous des emprunts faits à la Bible
    • Singuliers caractères de Mercure
    • Le Nil et le Gange
    • Histoire et description de la table isiaque
    • Dissentiments des savants sur son interprétation
    • Opinion plus acceptable de Champollion
    • La fable d’Isis et d’Orphée, source commune des fables grecques
    • Symbolisme de l’histoire d’Horus
    • Horapollon et son livre sur les hiéroglyphes égyptiens
    • Idée de la traduction et du commentaire de cet ouvrage par Pièrius Valérianus
    • Symboles tirés des choses naturelles
    • L’éternité
    • L’Épervier
    • La Corneille
    • L’Escarbot
    • Le Vautour
    • Le Cynocéphale
    • Le Lion
    • Le Phénix
    • L’Ane et la Grenouille
    • Représentation des idées abstraites ou morales par divers autres animaux
  • CHAPITRE VI. Les nombres.
    • Origine des nombres
    • Leur histoire remonte aux peuples primitifs
    • Les anciens attachent une importance réelle à leur signification
    • Chiffres et nombres dos Hébreux
    • L’idée de la Trinité révélée au premier homme implique sa connaissance des nombres
    • elle devient le germe de leur symbolisme
    • et se répand dans les Livres saints
    • Le symbolisme des nombres vient donc de Dieu
    • Interprétations dans ce sens de faits bibliques, et leur valeur acceptée de l’Église
    • Les nombres mystiques dans les sacrifices du peuple de Dieu
    • toujours respectables, quoique parfois inexpliqués
    • Système des Pythagoriciens : ce qu’il a d’outré ou de raisonnable
    • L’unité et le nombre 2
    • Pythagore   dépassé par ses disciples ; conséquences forcées d’un principe admissible
    • Les nombres 3 et 4
    • L’Arithmomancie
    • Symbolisme des nombres chez les Romains
    • Numa et le nombre impair
    • Varron et Aulu-Gelle
    • Horace
    • Ausone
    • Le nombre 5 ; emprunt que les chrétiens des premiers temps en font au paganisme
    • Comment les Pères de l’Église adoptèrent ce moyen d’exégèse
    • Leur unanimité sur ce point inspirée par l’exemple du Sauveur
    • Tertullien  
    • S. Jérôme
    • S. Hilaire de Poitiers  
    • S. Augustin  
      • Son traité De la Musique
      • Son opinion sur l’importance des nombres
      • Il explique les quarante jours du jeûne de Notre-Seigneur
      • Le nombre 10
      • Les trente-huit années du Paralytique
      • Prédilection de ce Père   pour cette méthode d’interprétation
    • S. Ambroise
    • La Règle de S. Benoît
    • Le Droit canonique
    • Taion, évêque de Saragosse, et le Pape S. Grégoire le Grand
    • Sur la parabole   des cinq   talents
    • Ce même S. Grégoire le Grand, et le nombre 1000
    • Le Septénaire de S. Adhelme
    • Le vénérable Bède
    • Ce qu’il dit des nombres 7, 50, 40 et 3
    • puis des nombres 20
    • et 6, et 43
    • Hugues de Saint-Victor  
    • S. Bernard
    • Le B. Thomas de Kempis
    • Bossuet
    • L’Église et sa liturgie
    • Différence entre ses prescriptions et les observances superstitieuses
    • Vaines idées à cet égard condamnées par les Pères
    • Récapitulation des idées symboliques sur quelques nombres eu particulier
    • Nombres 1, 2 et suivants, jusqu’à 8
    • Conclusion de ce chapitre
  • CHAPITRE VII. Les peuples de l’Orient.
    • Les croyances du bouddhisme, prises dans la révélation originelle
    • Dieu, d’après le Véda
    • Cette idée et d’autres semblables, germes de beaucoup d’autres symboles inexpliqués
    • Le lotos des Égyptiens
    • Personnifications diverses de nature
    • Rôle de l’astronomie
    • Rapports entre la théologie de l’Inde et celle de l’Egypte
    • Spiritualisme symbolique de l’art hindou
    • Le temple de Chalembron
    • Inductions en faveur du symbolisme du moyen âge
    • Les échecs
    • Théologie de la Perse
    • Preuves de l’idolâtrie des doctrines mithriaques
    • Le paganisme, symbole et réalité tout à la fois
    • Le culte de Mithra
    • Description d’une pierre gravée des mystères mithriaques
    • Symbolisme du Coran  
    • Du Talmud   juif
    • De la cabale  
    • Des sectes chrétiennes
    • Des peuples septentrionaux
    • Les Scandinaves
    • Les Celtes et les Calédoniens dans les poésies d’Ossian
      • dans la vie guerrière ou sociale, 181. - Résumé et conséquences des notions acquises dans les chapitres précédents et dans celui-ci
  • CHAPITRE VIII. Usages nationaux, anciens et modernes.
    • Puissance des signes d’après J.-J. Rousseau  
    • Les Scythes et les Perses
    • Le Vieux de la Montagne
    • Les énigmes des rois d’Asie
    • Le livre de l’Ecclésiastique
    • Les songes
    • Usage des Juifs
    • L’enseignement des docteurs de cette nation conforme à celui des Pères de l’Église
    • Tendance des Grecs au symbolisme
    • L’Iliade, poème allégorique
    • Le bouclier d’Achille
    • Le fond du poème est-il emprunté à la Bible ?
    • Faits réellement symboliques, malgré l’obscurité de leur origine
    • Puissance des signes chez les Romains
    • Le Monde de Romulus
    • Le supplice des parricides
    • Les mains croisées de la ville de Langres
    • Les signes de deuil des anciens et des modernes
    • Le cyprès
    • Les inhumations
    • Les images et statues ornant les chambres funéraires chez les Romains et en Russie
    • La barbe et les cheveux à Athènes, et dans la Chine
    • Les esclaves et les ministres jetés dans la tombe des princes chez les Perses
    • L’encens et l’eau bénite des chrétiens
    • La faux, les sabliers, etc. ; inintelligence des artistes modernes
    • Symboles encore usités chez les modernes
    • Tombeau du chrétien Paul Hu en Chine
    • Usages du Congo
    • Le mariage chez les nations septentrionales de l’Europe
    • Déclaration de guerre chez les Romains
    • La paix négociée par l’huile d’olive, et promise par le pain et le sel
    • Les flèches d’argent
    • La chemise sanglante en Corse
    • La fleur de lis de Clovis
    • et de Philippe de Valois
    • L’habit mi-partie de Pierre de Savoie
    • Le sabre d’Ali
    • Le symbolisme dans le monde actuel
    • Le bureau d’O’Connell
    • Le prie-Dieu de Pie IX
    • Éloquence de ce langage figuré
    • L’épée d’un prince français
    • La pensée publique familiarisée avec beaucoup de signes populaires
    • Les naufragés de Stène
    • La rosière de Salency
  • CHAPITRE IX. Les arts chez les anciens.
    • Dignité et spiritualisme de l’art
    • Le symbolisme en est la vie
    • Enchaînement et filiation des arts libéraux
    • Symbolisme de la Poésie
    • Le cantique de Moïse après te passage de la mer Rouge
    • L’Odyssée
    • Les Travaux et les Jours, d’Hésiode
    • Symbolisme de l’Architecture
    • L’architecte et son génie
    • Spiritualisme de l’art antique dans l’Egypte et l’Asie
    • Erreur de Volney à ce sujet
    • L’art spiritualisé dans la Grèce
      • la Gaule
      • et l’Arabie
    • Premiers temples : ce qu’ils eurent de symbolique
    • La forme de croix donnée aux temples des idoles en Orient
    • Symbolisme de la croix   dans l’écriture chinoise
    • Les ordres dans l’architecture à Rome et en Grèce
    • Temples hypèthres
    • Autres convenances symboliques dans le choix des lieux consacrés pour des temples
    • Les plans généraux des anciens vides de toute théorie normale à l’égard du symbolisme
    • Symbolisme do quelques tombeaux
    • L’Escurial de Madrid et la Sapience   de Rome
    • Temples élevés sur les hauts lieux
      • et entourés de bois sacrés
    • Orientation des temples
    • Exceptions qui confirment cette règle
    • Orientation des tombeaux
    • Détails d’ornementation sculptée
    • Les lions de l’architecture orientale
    • Consécrations des temples chez les anciens
    • Dédicace du temple de Salomon  
    • Réconciliation du second temple de Jérusalem parles Macchabées
    • Rapports entre ces cérémonies et celles observées par les païens
    • Temple de Jupiter au Capitale
    • Symbolisme des constructions navales
    • Des signaux maritimes
    • Symboles maritimes des Chinois
    • Conclusions des observations précédentes   : le spiritualisme, caractère de l’architecture ancienne
    • Différence entre l’architecture, qui est l’idéal de la beauté, et la statuaire, qui est l’idéal de la grâce
  • CHAPITRE X. La statuaire antique.
    • Origine de la statuaire
    • De l’existence   des démons et de leur influence sur l’idolâtrie
    • Le démon, premier type delà statuaire païenne
    • Inconvénient de ce culte pour la morale publique
    • Le caractère, des peuples anciens se reproduit dans leur statuaire
    • L’Egypte
    • La Chine
    • La Grèce
    • Le Jupiter de Phidias, type du beau idéal de la Divinité
    • La Minerve du Parthénon
    • Idée de la beauté chez les anciens
    • Le Cube de Mercure
    • Infériorité des Romains dans l’art
    • Comment ils traitent cependant le symbolisme
    • Exemple remarquable dans une urne grecque au Capitole
    • Le symbolisme appliqué à la numismatique
    • Système suivi sur cet objet par les Gaulois
    • Quelques particularités du symbolisme de la statuaire grecque et romaine
  • CHAPITRE XI. La peinture.
    • La peinture plus populaire que la sculpture
    • Philosophie de l’art du peintre ; l’Arcadie de Poussin
    • Infériorité de la peinture antique sur la statuaire de la même époque
    • Deux genres de symbolisme à y distinguer
    • Esthétique de la peinture chez les anciens
    • Influence de la philosophie de Pythagore sur la peinture des Grecs
    • L’école latine la subit également
    • Notions générales sur le symbolisme de la peinture grecque
    • Caractère du talent dans Apelles ; son tableau de la Calomnie
    • Belles inventions de son symbolisme
      • celui d’Aglaophon
      • de Néalcès
      • et de Mélanthe
    • Matérialisme des travaux d’Apelles
    • Spiritualisme de Zeuxis
    • Convenances symboliques de l’art religieux chez les anciens,
    • Connexion nécessaire entre lui et les idées philosophiques qui en sont la vie
    • Cupidon, Psyché et le papillon de » Grecs
    • La morale servie et outragée tour à tour par l’usage ou l’abus des allégories
    • Antiphile et son Gryllus
    • Caladès et son filet
    • Signatures et inscriptions symboliques des artistes anciens sur leurs œuvres
  • CHAPITRE XII. Les couleurs.
    • Le symbolisme des couleurs trop ignoré à notre époque
    • Cet art mieux apprécié des anciens
    • Exemples donnés par le paganisme
    • autres tirés du Peuple de Dieu
    • Analyse d’un traité de M. Frédéric Portai sur ce sujet
    • Fondements sérieux et principes généraux de cette étude
    • Leblanc
    • ses diverses applications
    • Le noir ; ses significations opposées
    • Motifs philosophiques de ces apparentes contradictions
    • L’art chrétien ne lésa pas repoussèes
    • Le jaune
    • Règle d’opposition des couleurs ; sa raison et ses diverses données
    • Signification néfaste du jaune
    • Moyens d’éviter les erreurs qui naîtraient de cette opposition
    • Exemples pris du roux et du tanné
    • Le rouge
    • Règle d’opposition pour le rouge
    • Le bleu
    • Pourquoi il n’est pas soumis à la règle des oppositions
    • Du vert, et de ses caractères pris en bonne part
    • Pourquoi il symbolise l’Espérance
    • Ses applications dans le christianisme
    • Accception néfaste de cette même couleur  
    • Usage fréquent et ingénieux qu’en fait l’art chrétien
    • Il y est donné maintes fois au démon
    • Règles des couleurs mixtes
    • Le rose
    • Idées trop systématiques de M. Portal   sur ce point
    • Il se renseigne mal de l’autorité biblique
    • Données de la mythologie sur cette même couleur
    • Règle d’opposition qui s’y rapporte
    • Réfutation de quelques erreurs
    • La rose et son symbolisme ; la Rose d’or
    • Rareté du rose dans la peinture du moyen âge
    • L’hyacinthe
    • Le pourpre
    • Difficulté de distinguer les couleurs mixtes dans la peinture du moyen âge
    • Le violet
    • pris en signe de deuil
    • Costumes de couleurs différentes donnés au Sauveur, aux différentes époques de sa vie mortelle
    • Costumes de la sainte Vierge et des martyrs
    • Identité à cet égard de la peinture grecque et de celle de l’Occident
    • L’orangé
    • Leroux ou tanné
    • ses significations néfastes
    • Langage identique de la Bible
    • Singulier système que se fait M. Portal à propos de l’arbre de Jessé
    • Conséquences forcées par le même écrivain
    • Raison de certains costumes monastiques
    • Le gris ; erreur et vérité
    • Exemples de son emploi au moyen âge
    • Services que peut rendre à la science et à l’art le livre de M. Portal
    • On en doit conclure que l’art chrétien était déjà dans le symbolisme antique, 348.
  • CHAPITRE XIV. Résumé et complément de la première partie.
    • Revue des preuves générales du symbolisme antique
    • Relations entre lui et la religion chrétienne
    • Transformation des éléments primitifs en éléments chrétiens
    • Nouvelle preuve de l’influence du sentiment religieux sur l’art païen
    • Caractère différentiel des deux grandes époques du spiritualisme
    • Types extrêmes de la beauté et de la laideur
    • Double principe du bien et du mal se partageant le champ des idées morales
    • Procédés à l’égard des idées abstraites passant des anciens aux modernes
    • Ces derniers popularisant le symbolisme dans les moindres expressions de la vie sociale
    • Nouveaux développements de la règle des oppositions
    • Différence entre le symbolisme de l’architecture antique et celui de la nôtre
    • Il est presque nul dans la première quant à la forme des monuments
    • Le temple de Salomon fait exception à cette remarque
    • Le temple chrétien, symbolique dans son ensemble
    • Alliance secrète et providentielle du symbolisme des anciens et de celui du christianisme
    • But multiple de l’Église dans l’adoption et l’emploi de ses symboles
    • Rôle nouveau fait au symbolisme dans l’art contemporain
    • Que l’art a sauvé le monde de l’athéisme
    • Il se purifie dans l’esthétique chrétienne
    • Caractère de son action sur la pensée humaine
    • Système symbolique de Dupuis ; une de ses allégories polythéistes expliquée en faveur de la loi chrétienne qu’il y veut renverser
    • Mérite surnaturel du symbolisme catholique ; charme de ses enseignements

DU SYMBOLISME DANS LA BIBLE ET LES PÈRES DE L’ÉGLISE.

  • CHAPITRE PREMIER: Considérations générales sur les causes et les développements successifs du symbolisme chrétien.
    • Le spiritualisme , source du symbolisme moderne , et de l’intérêt qu’il excite
    • L’hérésie détruit le sens artistique; la vérité religieuse le fait renaître
    • Caractère général du symbolisme chrétien
      • sa cause originelle dans le besoin d’enseigner
      • ses principes fondamentaux plus étudiés et mieux connus
      • ses sources dans la Bible
    • La théologie
      • et la liturgie
    • Ses premiers essais sur l’architecture
    • Belle expression du symbolisme architectural aux douzième et treizième siècles
    • Variété infinie de ses ressources pour l’instruction populaire
    • Cause de sa décadence
    • Lois du symbolisme transmises par la tradition   bien plus que par des théories écrites
      • leurs traces positives dans l’Église
    • Raisons de cette absence de règles écrites
    • Première apparition du symbolisme ostensible
    • Premiers écrits didactiques sur cette mati  ère
    • Application de la science symbolistique aux édifices religieux
    • Époques de progrès ; variété raisonnée des formes qu’on y adopte
    • Système moderne d’opposition contre le sens trop peu étudié de ces symboles
    • Vanité et irréflexion de cette critique
    • Comment on eût embrassé plus raisonnablement le parti contraire
    • Causes multiples de l’affaiblissement du symbolisme avec celui de la foi
    • Qu’il n’en faut pas exagérer la portée ni les conséquences dans l’art chrétien
    • De l’emploi des légendes, et qu’elles ont toujours leur symbolisme
    • La chasse Gallery
  • CHAPITRE II. L’Écriture sainte.
    • Estime des âges de foi pour l’Écriture sainte ; comment on en est sorti, comment on y revient
      • elle est la principale source delà science chrétienne
      • et du symbolisme de l’art
    • Nécessité de l’étudier sérieusement
    • Principes fondamentaux de cette étude
      • 1 elle est la parole de Dieu inspirée; caractères de cette inspiration
      • 2 elle ne peut être interprétée que dans le sens de l’Église
    • Quels sont les organes de cette interprétation?
    • Raisons d’étudier l’Écriture sainte; analyse sommaire de chacun des Livres bibliques d’après S. Jérôme
      • La Genèse
      • L’Exode
      • Le Lévitique
      • Les Nombres
      • Le Deutéronome
      • Josué
      • Les Juges
      • Ruth
      • Les Rois
      • Tobie
      • Job
      • Les Psaumes
      • Les Livres sapientiaux
      • Les grands Prophètes
      • Les petits Prophètes
      • Les Machabées
      • Les Évangélistes; motif des quatre animaux qui les symbolisent
      • Les Actes des Apôtres
      • Épîtres de S. Paul
      • Épîtres catholiques
      • S. Jacques
      • S. Pierre
      • S. Jean l’Évangéliste
      • S. Jude
      • L’Apocalypse
      • Ce que l’étude du symbolisme retire de la connaissance des Livres saints
  • CHAPITRE III. L’interprétation scripturaire.
    • Sens divers à distinguer dans l’Écriture
      • le sens littéral
      • allégorique
      • moral ou tropologique
      • et anagogique
    • Sens accommodatice
    • Règles de prudence pour n’en pas exagérer le symbolisme
    • Erreurs, sur ce point, du rationalisme moderne
    • Utilité des écrits de Janssens et de l’abbé Duguet sur cette matière
    • Le sens allégorique plus généralement usité
    • Que tout dans l’Écriture converge à Jésus-Christ
    • Observation de S. Cyrille de Jérusalem à ce sujet
      • confirmée par le Sauveur lui-même
      • par Moïse
      • et par les Apôtres
    • Cet enseignement donné aux peuples dès les premiers jours du Christianisme
    • Les paraboles et autres allégories
    • Simplicité et convenance de ces enseignements
    • Prééminence du Nouveau Testament sur l’Ancien
    • Concordance de la Loi ancienne et de la Loi nouvelle
    • Que les paraboles ne doivent pas toujours être interprétées dans leurs moindres détails secondaires
    • Symbolisme des idiotismes bibliques; digression, à ce sujet, sur le mot cornu
      • et sur le mot vas
  • CHAPITRE IV. Les faits bibliques.
    • Unité morale des deux Lois de Moïse et de Jésus-Christ
    • Restriction nécessaire à ce principe, et règles pour s’en bien servir
      • 1 le sens figuré indiqué par le sens littéral lui-même
      • 2 le sens littéral quelquefois impossible tout seul
      • 3 la pompe du style fait soupçonner un objet symbolique
      • 4 n’adopter le sens figuré qu’à la suite des Apôtres et des Pères
      • 5 même règle quant à Jésus-Christ et aux figures qui l’annoncent
      • 6 appliquer le sens frguré et le sens littéral dans toute l’extension que donne le texte, mais point au delà
    • Jusqu’à quel point l’interprétation des Pères oblige la foi
    • S. Méliton, et sa Clef des hcrilures
    • Le mariage pris comme symbole de l’union de Dieu avec l’homme
    • L’arc-en-ciel, symbole d’alliance et de paix
    • Type de Jésus-Christ dans Isaac
    • Signes et symboles établis de Dieu
    • Les songes appliqués au môme but
    • Vision de Daniel sur l’empire d’Alexandre le Grand et sa décadence
    • Symbolisme des lois et cérémonies hébraïques
      • combattu en vain par les incrédules
    • Moïse levant les mains sur la montagne
    • L’aspersion du sang des victimes sur le peuple
    • Les vêtements du grand-prêtre
      • ils renferment des symboles
      • qui facilitent l’intelligence des choses de Dieu
    • Exagération des rabbins
    • Le Lévitique expliqué par S. Augustin
    • Symbolisme de l’ancien Tabernacle
      • des sacrifices sanglants
      • de la consécration des hosties anciennes
    • Figures bibliques du Sauveur sacrifié
    • Animaux bibliques sculptés ou peints dans nos églises
    • expliqués par un passage d’Ézéchiel
    • Examen des Prophètes
    • Ézéchiel et les symboles tirés de sa propre personne
      • ceux des autres Prophètes
    • Elisée et les flèches de Joas
    • Résurrection opérée par Élie et Elisée
    • Jésus-Christ est sous toutes ces allégories
    • Aveux des protestants à cet égard
      • soutenus de l’autorité de l’historien Josèphe
    • Remarques curieuses sur la prophétie de Jacob   mourant
    • Symbolisme appliqué aux douze noms de ses enfants
    • Les zodiaques
      • du moyen âge trouvent dans ce fait une de leurs explications
    • Parallélisme des deux Testaments en beaucoup d’objets
  • CHAPITRE V. Cantique des cantiques.
    • Caractère exclusivement symbolique de cette composition
      • son objet
    • Unanimité des Pères à cet égard
      • contredite de mauvaise foi par l’incrédulité
    • Preuves du spiritualisme de ce poème
      • sa valeur littéraire
      • ses personnages
      • figures de Jésus-Christ et de l’Église
    • Symbolisme d’une verrière de Bourges
    • Vivacité du style oriental dans celui du Cantique
      • elle en explique certaines singularités apparentes
    • La Vierge noire de l’iconographie chrétienne
    • Autres métaphores, toutes symboliques
    • Plan et division du Cantique
    • Les mœurs qui y sont décrites , encore conservées en Orient
      • on ne s’en étonne que faute de les comparera d’autres notions acceptées de tous
    • Mauvaise foi de certains critiques à fausse pudeur
    • Dans quel esprit   on doit juger de ce livre , et de ce qu’il y faut voir avec l’Église
    • Imitation allemande du Cantique par Henri Frauenlob
    • Naïve simplicité du moyen âge littéraire
      • dans ses œuvres religieuses
    • Le poème de Salomon n’a rien de plus profane
    • Les Juifs en jugeaient ainsi que nous
      • Idée du Commentaire de Bossuet
      • et de celui de S. Bernard
    • Époque fit occasion du travail de ce dernier
    • Dans quel esprit les Saints ont lu le texte sacré et les commentaires
    • Analyse et esprit de cette Kxposilion do l’abbé de Clairvaux
    • Symbolisa-tion du mot cédar par le. saint Docteur
    • Explication du Cantique par une religieuse napolitaine
    • S. Bernard mal jugé de nos jours à propos du symbolisme
  • CHAPITRE VI. L’Apocalypse (Chap I-IV).
    • Origine de ce livre
      • son but moral
    • Multiplicité de ses commentaires
      • la plupart erronés
      • celui d’Holzozer
    • Fausses interprétations des protestants
    • Opinion fondamentale de S. Augustin
      • et de Bossuet
    • Combien ce livre a servi à l’art chrétien
      • sa division en trois parties
      • son plan général
    • Jésus-Christ alpha   et omegaa ; origine du Chrisme, et son histoire clans les temps chrétiens
    • Les sept Églises de l’Asie, et les sept chandeliers
    • Jésus-Christ et son image symbolique
    • Étoiles à huit branches
    • L’Église d’Éphèse, et son chandelier
      • celle de Smyrne, et les adversaires de S. Polycarpe
    • Démonologie : Église de Pergame; ses pierres blanches et son nom inconnu
    • L’Église de Thyatire, et son Étoile du matin
    • L’Église de Sardes, et ses fidèles vêtus de robes blanches
    • L’Église de Philadelphie, et la Clef de la Maison de David
    • La porte mystérieuse
      • et la colonne du temple
    • L’Église de Laodicée
    • L’or   pur et les vêtements blancs
    • Sens général de cette première partie
      • son explication mystique par une religieuse napolitaine do notre temps
  • CHAPITRE VII. Première suite de l’Apocalypse (chapitres IV-VIII)
    • Plan de la deuxième partie, toute prophétique
    • Le Juge suprême; nombreux symboles qui l’environnent
    • Rapports entre le temple de Jérusalem et le ciel de l’Apocalypse
    • Le jaspe et la sardoine du trône divin
    • Les vingt-quatre Vieillards : mystère de ce nombre
    • La mer de verre: applications diverses de ce type à l’art chrétien
    • Symbolisme de la harpe dans la musique céleste  
    • Le jugement apocalyptique ciselé dans la sculpture des églises
    • Encore le nombre sept
    • L’Agneau égorgé
    • Autres rapprochements entre le temple ancien et le ciel de l’Apocalypse
    • Les sept attributs donnés à l’Agneau
    • Ouverture des sept sceaux
    • Les cavaliers et leurs chevaux de diverses couleurs; les quatre animaux évangéliques, et d’abord le lion
    • L’un des cavaliers, symbole do Jésus-Christ
    • Sens du cavalier sculpté dans les tympans des églises du douzième siècle
    • Le boeuf et le deuxième sceau
    • L’Ange ou l’homme de S. Matthieu; le troisième sceau et le cheval noir
    • L’aigle et le quatrième sceau
    • Cheval pale
    • Rôles symboliques donnés au cheval
    • Les martyrs; l’autel et les reliques de sa consécration
    • Fausse interprétation d’un chapiteau de Fleury-sur-Loire
    • Les robes blanches; leur nombre selon le. rang des personnes dans l’antiquité et au moyen âge
      • sens mystique de ce fait
    • Jugement dernier dans les anciens Prophètes et dans celui de la nouvelle Loi
    • Rapports entre cette description et les faits historiques de l’Église primitive
    • Les quatre Anges vengeurs de la Justice divine
    • La croix, signe du Dieu vivant
    • Les cent quarante-quatre mille Élus
    • Symboles variés des récompenses célestes  
    • Beauté de ces symboles de la paix éternelle
  • CHAPITRE VIII. Deuxième suite de l’Apocalypse (chapitres VIII-XII)
    • Ouverture du septième sceau
    • Prières des Justes présentées à Dieu par des Anges et symbolisées par l’encens
    • Réminiscence de ce symbole au Saint Sacrifice
    • Autres circonstances du jugement dernier
    • L’herbe, symbole de la jeunesse de la vie
    • Persécution d’Adrien; images vives de ces malheurs
    • L’étoile Absinthe; la troisième partie des créatures
    • Le faux prophète Barcochôbas figuré par cette étoile; symbolisme de cet astre type lui-même de Satan  
    • Origine du Talmud des Juifs
    • L’aigle, symbole du démon ou du Sauveur
    • Toute la liturgie des assemblées chrétiennes imitée de l’Apocalypse
    • L’hérétique Théodote de Byzance, autre étoile déchue
    • Encore l’étoile symbolique
    • Caractère des hérésies, nées de l’enfer, confondant l’erreur et la vérité
    • Les sauterelles, symbole de l’hérésie
    • Le môme sens donné au scorpion
    • Origine du>signe de croix des chrétiens
    • Abjection morale du monde romain de l’an 180 à l’an 312 de l’ère chrétienne
      • très-bien dépeinte par ses traits de ressemblance avec les ravages des sauterelles
    • L’ange Abaddon, roi de ce peuple mystérieux, et son pouvoir de tromper les âmes
    • Sauterelles d’un chapiteau de Chauvigny-sur-Vienne, sculptées d’après le type ici expliqué
    • Symbolisme de la chevelure différent dans l’homme et dans la femme
    • L’Ange de l’Euphrate, et ses offices symboliques
    • Ministère des quatre Anges de l’Euphrate
    • Défaite de Valérien par Sapor   I; nombreux symboles de ce fait
    • Chevaux mystérieux, portant la mort devant et derrière eux
    • Livre ouvert; Ange symbolisé par les caracr tères de la toute-puissance de Jésus-Christ
    • Ce même livre doux à la bouche et amer au cœur
    • L’Ère des martyrs sous Dioclétien
    • Mesures mystérieuses du temple
    • Exclusion des infidèles
    • L’Église figurée sous ces deux symboles
    • Preuves historiques de cette interprétation
    • Les deux Prophètes témoins du Seigneur
    • Méchanceté des tyrans; énergie des justes et des martyrs pendant la persécution do Dioclctien
    • Famines matérielles et spirituelles
    • Rome païenne sous les traits de la bète sortie de l’abîme
    • Les jours pris pour des années
    • Les colombes,- symbole de résurrection
    • Nouveaux rapprochements entre la prophétie et l’histoire de l’avenir
  • CHAPITRE IX. Troisième suite de l’Apocalypse (chapitre XII-XIV)
    • Continuation des combats de l’Église
      • symbolisée par la femme aux douze étoiles
    • Les mêmes traits symbo isent la Sainte Vierge
    • Développement de ce double type
    • Le dragon   roux, à sept têtes, personnification de Satan
    • Le nombre sept appliqué au démon
    • Les étoiles entraînées par le dragon; symbolisme multiple de ces astres
    • Antagonisme de la bète et de Jésus-Christ
    • Origine de la vie èrémitique
    • Lutte de S. Michel et de Satan
    • Chant de victoire pour l’Archange
    • Étonnante précision de la chronologie apocalyptique
    • Les eaux et leur symbolisme
    • Sens superhistorique de quelques détails du texte sacré
    • Autre application de ce chapitre à la Sainte Vierge, par S. Bernard
    • Fresque de S. Pierre-des-Églises reproduisant au douzième siècle la naissance do Jésus-Christ et le combat de S. Michel
    • Autre bète sortie de la mer, et ses attributs
    • Rome aux sept montagnes
    • Le léopard et ses formes hybrides
    • Caractère, de Maximin Hercule
    • Julien l’Apostolat
    • La bête à dix tètes dans une miniature du treizième siècle
    • L’Église persécutée parla philosophie humaine
    • Agneau hypocrite
    • Symboles d’idolâtrie porté sur soi par les païens
    • Nombre delà bète, et nom de Dioclétien
  • CHAPITRE X. Quatrième suite de l’Apocalypse (chapitre XIV-XVIII)
    • Triomphe de l’Église
    • L’Agneau vainqueur
    • Les cent quarante-quatre mille vierges épouses de l’Agneau
    • Renversèment de la Babylone spirituelle
    • L’enfer destiné à ses adeptes
    • Nouvelle imago du jugement dernier
    • Invasion d’Alaric et d’Attila
    • Sept Anges, sept fléaux ; encore le nombre sept
    • La harpe
      • les robes blanches
      • le tétramorphe
    • Mystère de la justice de Dieu
    • Dernières sévérités de la Providence sur l’empire romain; les sept coupes mystérieuses, symboles de ces rigueurs
    • Et 1er la peste
    • La mer et les fleuves, symboles de Rome et des provinces
    • 2 La mer de sang, oulaguerre
    • 3 Extension de ce fléau
    • 4 Sécheresse et famine
    • 5 Épaisses ténèbres de l’ordre moral
    • Le blasphème symbolisé par des langues sculptées aux modillons de nos temples
    • 6 Invasion des barbares
    • Plaie des grenouilles; symbolisme de ces animaux
    • Crapauds et serpents dévorant le sein d’une femme
    • Emblèmes des péchés capitaux
    • Sculpture de l’église de Moissac
    • Pratique de la magie à Rome
    • Armagédon, lieu symbolique par son nom;singulière explication des sectaires anglais du docteur Cunning
    • Mort des empereurs Valèrien et Julien l’Apostat
    • Supplices divers des devins de l’empire prédits par S. Jean
    • 7 Fléau : tremblements de terre et orages
    • Les barbares se partagent l’Empire
    • La ruine de Rome comparée à celle de Tyr
    • Les îles et la mer, symboles des âmes mondaines
    • Les montagnes, aines contemplatives; les orgueilleux et les humbles
    • Calamités de ce temps; origine du livre de La Cité de Dieu
    • Clef et explication de toute l’Apocalypse
    • Symboles des villes dans l’antiquité
    • Les grandes eaux sont les peuples
    • Caractères de la Rome des païens
      • à la fois bête à dix cornes et femme prostituée
    • La robe rouge et la bête de même couleur
    • Rome appelée Babylone; ses attributs mystérieux
    • Images inspirées par ce passage de Saint-Pierre de Chauvigny-sur-Vienne
    • Parallélisme de’l’Ancien et du Nouveau Testament
    • Fin des persécutions ; extinction du paganisme
    • Les sept tètes do la bête, les sept montagnes de Rome
    • Maximien Hercule symbolisé
    • Sens des cornes de la bôte>
    • Alliance des barbares contre la Ville éternelle
      • et contre le nom chrétien
    • Encore les eaux pour les peuples
    • Chairs dévorées
    • Action de la Providence sur les choses humaines
  • CHAPITRE XI. Cinquième suite de l’Apocalypse (chapitre XVIII-XX)
    • Rome toujours sous les traits symboliques de Babylone
    • Lumière symbolique du Christ; origine du Nimbe
    • Causes morales de la chute de Home
    • Lieux déserts aimés du démon
    • Satan symbolisé par les oiseaux   de proie
    • Le hibou
    • Dogme catholique ainsi expliqué
    • Détails de la ruine providentielle de Home
    • La cendre
    • La rneule jetée dans la mer
    • Les Prophètes et les Saints pris pour les simples fidèles
    • Jésus-Christ, vainqueur de la cité, s’en empare et y règne
    • Par là, l’Antéchrist soumis à la Croix dans un tableau de Constantin
    • La meule et ses divers symboles
    • L’Alleluia, cantique des Cieux
    • Le lin et les robes blanches, figure des bonnes œuvres et de l’innocence
    • Les noces de l’Agneau
    • Les morts et les âmes peints et sculptés au moyen Age dans l’état d’innocence primitive
    • Divinité du Christ
      • revenant sous la figure du cheval blanc
    • Cette môme couleur donnée au cheval du Samaritain
      • son importance dans le symbolisme catholique
    • Devoirs des peintres à cet égard
    • Autres caractères mystérieux du Christ vainqueur.
    • Autres explications de cette même couleur
      • donnée, aux Élus
    • Encore les deux tranchants de l’épée divine
    • La verge de fer
    • Le pressoir et le vin, images de la Passion du Sauveur
    • Ses vêtements,
      • son nom écrit sur sa cuisse; souvenirs bibliques à ce sujet
    • L’Église triomphant du paganisme parla lumière de la prédication
    • Beau manuscrit de Poitinrs, du treizième siècle,et ses miniatures symboliques
    • Oiseaux appelés à dévorer les ennemis do l’Église
    • Sens allégorique donné aux oiseaux en général, et ici en particulier
    • Ce sont ici des images des démons
    • Richesse do l’iconographie chrétienne sur ce point
    • Opposition de la bête à l’action du Dieu triomphateur
    • Figure de la guerre faite par le monde à l’Église, de Jésus-Christ
    • Le diable et l’hypocrisie en habit vert et rose
    • Nouvelle victoire du Christ
    • L’enfer, étang de feu et de soufre, et gueule béante remplie de flammes
    • Couleur bleue donnée au démon, et pourquoi
    • Sens historique de toutes ces allégories
    • Rage des oiseaux malfaiteurs, action du démon sur les réprouvés
      • leurs types dans beaucoup de sculptures des églises
  • CHAPITRE XII. Sixième suite de l’Apocalypse (chapitre XX-XXI)
    • La clef de l’abîme; symbolisme de cet instrument
    • Tradition des clefs à S. Pierre
    • Encore le dragon roux enchaîné pour mille ans
    • Comment entendre ce chiffre?
    • Le démon précipité dans l’abîme
    • Quel dogme est exprimé par ce fait symbolique
    • Gloire des Élus délivrés do cet ennemi
    • Symbolisme des trônes ou sièges dans l’Écriture
    • Caractère supérieur du martyre dans l’Église
    • Deux sortes de mort : la première et la seconde
    • Satan déchaîné de nouveau vers la fin du monde
    • Gog et Magog
    • Derniers combats de l’Église contre ces nouveaux ennemis
      • qui pourraient être les Russes?
    • Juste application des idées précédentes aux monstres sculptés des édifices chrétiens
    • Punition de la bêle ou de l’idolâtrie débarrassée, et du faux prophète, ou de l’hérésie acharnée contre l’Église
    • Ces faits peints avec un remarquable génie par les coloristes du moyen âge
    • Le Christ vainqueur de l’enfer, et ses attributs coloriés
    • Le démon vaincu, et sa gueule infernale
    • Encore Abraham   et les Élus dans son sein
    • Variétés observées dans l’iconographie sculpturale ou peinte de la gueule diabolique
    • Jésus-Christ, juge suprême, environné de lumière blanche
    • Représentation iconographique de ce sujet par l’art du moyen âge
    • Le dessin de cette époque donnant souvent une idée de l’ensemble par un détail principal
    • Résurrection des morts ; livres de vie et de perdition
    • Cette scène et ses détails figuratifs aux tympans des églises
    • Description archéologique de ces magnifiques travaux
    • Les sarcophages et leurs formes diverses
    • Les Élus et les réprouvés
    • Iconographie du Christ, juge suprême
    • Marie et S. Jean agenouillés à ses côtés
    • Unité symbolique des pensées du moyen âge sur ce sujet
    • Nouvelle preuve du symbolisme des couleurs
    • L’enfer et ses diverses figures emblématiques
  • CHAPITRE XIII. Septième suite de l’Apocalypse (chapitre XXI-fin)
    • Le ciel et la gloire de ses habitants
    • L’Église, Épouse symbolique du Christ, et cette union, symbole du mariage chrétien
    • Autre image de l’Église chrétienne dans la Jérusalem céleste
    • Dieu régnant au Ciel sur les âmes sauvées
    • Pourquoi la Cité sainte semble descendre du Ciel
    • Bonheur   des Saints dans l’Éternité; images sensibles que l’art chrétien nous en a faites
    • Les Élus dans le sein de Dieu ou d’Abraham ; distinction à faire entre ces deux personnalités symboliques
    • Comment Dieu y essuie les larmes de ses Saints
    • Origine des conopées des tabernacles et des baldaquins de l’autel; condition des uns et des autres; abus à éviter dans leur emploi
    • L’alpha et l’oméga accompagnant le chrisme dans les monuments primitifs
    • Les sources du Sauveur, fontaine de vie, image de la limpidité et do la paix des jours éternels
    • Relations mystiques entre ces eaux et celles de beaucoup d’autres types bibliques, Les méchants exclus de toute participation à ce rafraîchissement
    • Ministère des Anges près des hommes
    • Les extases des Saints, contestées par le rationalisme, expliquées et justifiées par celles de S. Jean
    • L’Église symbolisée par l’élévation de la Cité; Épouse de l’Agneau
    • Symbolisme des montagnes dans l’Écriture
      • elles sont tantôt le Sauveur
    • tantôt le démon
    • L’âme participant dans le ciel de la nature de Dieu
    • Principes de la thèologie catholique sur ce sujet
    • Les pierres précieuses, symboles des attributs divers de l’Église triomphante
    • Hautes raisons qui autorisent ce symbolisme
    • Préjugés populaires du moyen âge sur les gemmes, fondés la plupart sur des notions transmises par les auteurs de l’antiquité
    • Propriétés du jaspe
    • Application des attributs des pierres précieuses à la Sainte Vierge par un anonyme du moyen Age
    • Description de la cité mystique, dont le jaspe est le principe lumineux
    • L’Église militante a aussi son image dans tous ces détails; comment tout cela est admirablement compris dansla Rome des Papes
    • Les douze Apôtres symbolisés par douze pierres précieuses; première pierre des églises, et leur dédicace
    • La règle d’or et les mesures du temple
    • L’or, symbole de la sagesse et de la charité
    • La règle, emblème de la justice distributive, des récompenses éternelles
      • et de la foi, principe des bonnes œuvres
    • Le carré, symbole de Dieu par sa forme égale de tous côtés
      • et de l’immutabilité, par son défaut de mouvement propre
    • Cette forme plus fréquemment employée dans l’architecture des forteresses; et pourquoi
    • Le nombre douze et ses mystères
    • Mysticisme des dimensions de la Cité, d’après les Pères
      • ses matériaux
    • Autre symbolisme du jaspe et de l’or
      • ses fondements et leur solidité
    • Les vingt-quatre Vieillards, les douze Patriarches et les douze Apôtres, figures des deux Alliances
    • Analyse de chaque pierre précieuse, et son symbolisme
      • le jaspe ou la foi : c’est S. Pierre
      • le saphir, contemplation et joie céleste : S. André et Nephtali
      • la chalcédoine, charité : S. Jacques le Majeur et le patriarche Joseph
      • l’émeraude est Juda et S. Jean l’Évangeliste
      • la sardoine : S. Philippe et Manassô ou Lévi
      • la sarde : Ituben et S. Barthélémy
      • la chryso-lithe : S. Matthieu et Éphraïm
      • l’aigue-marine : S. Thomas et Benjamin
      • la topaze : S. Jacques le Mineur et Siméon
      • la chrysoprase : S. Jude et Issachar
      • l’hyacinthe : S. Paul et Dan
      • l’améthyste : S. Matthias et Zabulon
    • Les douze portes
    • Les perles et leur signification
    • Intérieur de la cité mystique
    • On n’y voit pas de temple, et pourquoi
    • Principes de la théologie catholique sur l’existence des corps et des âmes dans la béatitude
    • Toutes les nations appelées à sa possession parla pratique du christianisme
    • Hymne de la dédicace de l’Église; beauté de cette composition, calquée sur celle de S. Jean
    • Fleuve d’eaux vives, symbole de la paix éternelle
    • Immenses ressources du symbolisme scripturaire; encore les eaux et leurs significations variées
    • Arbre de vie; ses propriétés figuratives
    • Symbolisme des arbres en général ; unanimité des écrivains sur ce point
    • Bonheur des Saints en Dieu
    • Nouvelle preuve du sens historique de l’Apocalypse
    • Conclusion : respect pour cette prophétie
    • La Procession des baptisés, au jour de Pâques
    • Le chien, symbole d’impiété, et, par opposition, de fidélité
    • Divers titres donnés au Sauveur autant de symboles
    • L’Étoile du matin, et son opposition
    • Aspirations à la jouissance des biens du ciel
    • Menaces aux violateurs de ce livre
    • Dernier souhait de l’Écrivain sacré
    • Oeuvres grandioses du moyen âge inspirées par l’Apocalypse
    • Tympan de la cathédrale d’Angers; sculptures d’autres églises : Airvault, Charroux, Cherlieu
    • Sainte-Praxède de Rome; son agneau mystique et ses palmiers
    • Vitrail de Bourges, résumé des scènes apocalyptiques
    • Choix expressif des couleurs dans ce chef-d’œuvre du treizième siècle
    • Autres étoiles symboliques
    • Baptême par infusion
    • L’arc-en-ciel; suprématie de S. Pierre
    • Jésus-Christ glorifiant les Élus dans sa propre gloire
    • Anges,et leurs couleurs choisies
    • Riche multiplicité d’autres symboles
    • Hautes leçons qui découlent de ce livre pour la religion et pour l’art
  • CHAPITRE XIV. L’Église.
    • L’Église, source de tous nos renseignements ultérieurs
    • Sens multiple du mot Eglise,
    • Maternité universelle do l’Église chrétienne, épouse de Jésus-Christ
    • Figures bibliques de l’Église dans la Synagogue et quelques femmes de l’ancienne Loi
    • Les Juifs sourds à ces avertissements; mystère du voile, qui leur obscurcit la vérité
    • La Synagogue n’en reste pas moins la servante delà vraie Mère
    • Rapprochements symboliques entre l’Église et la première femme
    • Son action providentielle indiquée dans le Cantique de Tobie, et magnifiquement rendue par Racine
    • Tous les Prophètes d’accord sur ce point, et par conséquent sur le symbolisme religieux
    • L’Église symbolisée par Jérusalem dans Tobie
      • dans S. Paul
      • dans S. Méliton
    • Elle est une vigne féconde
      • et une Épouse Mère
      • considérée par les Pères sous les mêmes symboles que Marie
    • Richesse de pensées de S. Augustin a cet égard
    • Paraboles du Nouveau Testament, où l’Église est clairement désignée
    • Emploi fréquent de ce moyen en Syrie
    • L’aire purifiée
    • Festin où tous sont conviés
    • Poissons choisis ou rejetés
    • Distinction des brebis et des boucs
    • Champ de blé mêlé d’ivraie
    • S. Pierre et l’Église identifiés par le Sauveur
    • Sens symbolique du mot Gôphas
    • Multiplicité des monuments chrétiens du nom de S. Pierre
    • Tympans de la cathédrale de Poitiers
      • et de Bougy (Calvados)
    • Le manipule et sa signification
    • Sens super-historique à examiner souvent, comme ici
    • Principes et théorie à en tirer
      • surtout quanta l’intervention du clergé dans l’art du moyen âge
    • La barque de S. Pierre
    • L’huile des lampes d’église
    • Allusion de la barque divine développée par S. Hippolyte d’Ostie
    • Église symbolique de S. Hermas
    • La tour de Salomon
    • L’Église, née du côté percé de Jésus-Christ
    • L’eau et le sang du Sauveur, images du Baptême et de l’Eucharistie
    • De quel côté de la croix les peintres doivent placer Longin frappant le Sauveur de sa lance
    • La lune  , autre figure de l’Église
    • Autres rôles symboliques donnés à la lune par opposition
    • Elle figure aussi la Synagogue
    • Histoire des transformations de la croix et du crucifix
    • Pourquoi le soleil   et la lune à droi.te et à gauche de la croix
    • Orientation de Notre-Seigneur crucifié
    • Le Nord, côté des pécheurs et du démon
    • Déchéance de la Synagogue
      • figurée aussi parla lune dans sa décroissance
    • Iconographie consacrée à ce sujet
      • et rôle que le soleil y reçoit
    • La Synagogue a cependant ses côtés favorables
    • Combien les juifs méprisés des peuples chrétiens, détestés de tous et traités avec indulgence par les Papes
      • que ce n’est guère que depuis le treizième siècle que cette haine a diminué
    • La Synagogue au pied de la croix; à ce propos, caractère à respecter du dessin religieux de cette époque
    • L’Église placée parallèlement à la droite du Christ; attributs qui l’y distinguent
    • La Sainte Vierge, figure de l’Église accompagnée de S. Jean au pied de la croix; comment ce Saint y est représenté
    • Livre symbolique des Apôtres, Docteurs et autres Saints
    • S. Pierre et S. Paul au pied de la croix avant le onzième siècle; ils y figurent encore l’Église et la Synagogue
    • Pourquoi la droite est souvent donnée à S. Paul auprès du Christ
    • De la bénédiction de Jacob donnée, par une raison symbolique, plutôt à Éphraïm qu’a Manassé
    • Crucifixion, d’après un manuscrit de l’abbesse Herrade
    • Beaux détails symboliques de ce tableau
      • et d’abord, le tétramorphe d’Ézéchiel
      • puis Longin ou le Centurion
      • et les deux larrons
      • et la Synagogue personnifiée par ses caractères symboliques
      • et sa monture suspecte
    • Idées dont l’âne est le symbole dans l’iconographie
    • Stèphaton, le porteur d’épongé
    • La gauche et la droite du Christ symbolisées par les actions différentes qui s’y accomplissent
    • Fécondité de l’art chrétien dans ses allégories sur l’Église
  • CHAPITRE XV. Les Pères du premier au sixième siècle.
    • Le Nouveau Testament contenu en germe dans l’Ancien
    • L’enseignement nouveau est donc fondé sur la doctrine qui en était la figure
    • Le symbolisme ne peut donc s’en séparer
    • C’est l’origine du mysticisme des Pères
    • Différence entre les Pères et les Docteurs
    • En quoi l’autorité dos Pères est ou n’est pas obligatoire pour les fidèles
    • Sentiment du pape Célestin Ier et de S. Augustin à cet égard
    • Caractère moral et littéraire des Pères de l’Église
    • comment ils adoptèrent le symbolisme chrétien
    • L’ignorance de leurs écrits et de leur méthode, cause de beaucoup de faux jugements
    • Originalité de leur littérature
    • Leur étude indispensable à la science archéologique
    • Examen chronologique des Pères et auteurs ecclésiastiques de chaque siècle,.depuis le premier jusqu’au treizième
    • Ier siècle : Hermas, et son livre Du Pasteur
    • IIe siècle : S. Irènée de Lyon
      • S. Denys l’Arèopagite, et ses Traités des Noms divins
        • et De la Hiérarchie
      • S. Justin et son Apologie  
      • S.Hippolyte
      • S. Méliton, évèque de Sardes, et sa Clef des Écritures
        • savamment éditée par dom Pitra
        • Analyse de ce livre et de sa méthode
      • S. Clément d’Alexandrie  , et son Pédagogue
      • Tatien  , et son Physiologue
    • IIIe siècle:S.Cyprien de Carthage, et ses divers livres,
      • Origène  , et ses Homélies
      • Extension des bras pendant la messe
      • S. Victorin de Poitiers, et ses Commentaires
    • IVe siècle : beaucoup d’écrivains de cette époque
      • Tableau symbolique de Constantin, vainqueur du paganisme par la croix; relations de co fait avec le cavalier des tympans d’églises
      • S. Jérôme, et sa fécondité symbolistique
      • Les cierges allumés pendant le chant de l’Évangile
      • S. Hilaire de Poitiers; son Commentaire sur S. Matthieu
        • son livre De la Trinité
        • ses Psaumes
        • sa lettre à sa fille S. Abre
      • S. Paulin, évèque de Nole
      • S. Martin, évèque de Tours, et ses allusions mystiques
      • Prudence et S. Prosporet leurs Poèmes
    • Ve siècle : S. Augustin, et sa Doctrine chrétienne
      • S. Pierre Chrysologue, évèque de Ravenne, et ses Expositions de l’Écriture
      • S. Cyrille d’Alexandrie, et ses Commentaires
      • S. Léon le Grand et le Concile général do Chalcédoine
      • Peintures des catacombes, encore multipliées a cette époque
      • Le pape S. Célestin Ier, et sa Lettré aux évêques des Gaules
      • S. Nil, préfet de Constantinople, et sa Lettre à Olympiodore  
      • Objections qu’on en veut tirer contre le symbolisme iconographique
      • Réponse à ces objections, tirée de l’état du symbolisme antérieurement à S.Nil
        • et de la connaissance qu’il en avait
        • il n’exprime qu’une préférence pour d’autres sujets
      • Symbolisme de la chasse et de la pèche d’ailleurs bien usité avant lui
      • Tombeau de Jovinus à Saint-Agricole de Reims
      • L’action du démon symbolisée par la chasse
      • Système symbolistique d’Olympiodore très bien caractérisé, et parfaitement compris de S. Nil
      • Celui-ci est donc moins un adversaire du symbolisme qu’un particulier disant son avis sur la convenance de tels ou tels symboles
      • Progrès de la peinture chrétienne au cinquième siècle
  • CHAPITRE XVI. Les Pères du sixième au onzième siècle.
    • Le sixième siècle profite des données précédentes
      • S. Césaire d’Arles, et ses Sermons
      • L’Eglise symbolisée dans la Sunamite d’Elisée
        • et dans la veuve de Sarepta consolée par Élie
      • S. Grégoire, et ses Morales; sa méthode d’interprétation biblique
        • adoptée par tous les interprètes à sa suite
      • S. Fortunat de Poitiers; ses Poésies et ses Sermons
    • VIIe siècle: son caractère moins littéraire n’en est pas moins imbu du symbolisme
      • Le V. Bède, et ses travaux encyclopédiques
      • S. Isidore de Séville; ses Commentaires et ses Origines
      • Explication des chapiteaux à têtes diaboliques
    • VIIIe siècle; Paul Diacre, et son Homiliaire
      • S. Boniface de Mayence; ses Poésies et ses Lettres
      • Autpert, et ses Sermons monastiques
      • Causes de la stérilité littéraire de ce siècle
    • IXe siècle : influence de Charlemagne
      • Héric d’Auxerre, et son poème De la Vie de S. Germain
      • Isaac, évéque de Langres, et ses Canons de discipline
      • S. Adon  , archevêque de Vienne, et son Martyrologe
      • Raban-Maur, évéque de Mayence; ses Traités encyclopédiques et ses Allégories bibliques
      • Walafride Strabon, et sa Glose ordinaire
      • Autres écrivains de ce siècle : Alcuin; Loup de Ferrières; Agobard; Paschase Ratbert; Hincmar de Reims, et son Festin de Salomon
    • Xe siècle : commencement de la langue française; études de ce temps
      • S. Mayeul de Cluny; Henri d’Auxerre, et sa méthode
      • Le B. Notker, et son Traité des interprètes de l’Écriture
      • Bastier, évoque de Vérone, et ses Sermons
      • Origines du blason
        • ses premiers essais
      • Les tournois en déterminent les règles
      • Premier emploi des émaux du blason
      • Sujets symboliques chargeant les écussons
        • mais encore peu arrêtés dans le cours du treizième siècle
        • quoique certaines armoiries se soient fixées dés l’époque des croisades
      • Pièces honorables,et leur importance
      • Sens de quelques-unes d’elles
      • Toutes tes figures principales réduites à sept
      • Modifications de leur sens primitif
      • Les supports, et leur signification variée
      • Les émaux ou couleurs symboliques
      • Les hachures
      • Les métaux
      • Significations et étymologies des couleurs
      • Les fourrures
      • Les couronnes
      • Pièces meublantes
      • Armoiries des villes
        • des communautés et des corporations
        • toutes utiles au point de vue social
      • Ordres de chevalerie
      • Sens général donné aux diverses pièces du blason
      • Les plus simples indiquent souvent une plus haute ancienneté
      • Exception à cette règte pour les Montmorency
      • Pièces récentes qui indiquent une noblesse nouvelle
      • Traité à faire sur le langage des armoiries
  • CHAPITRE XVII. Les Pères du onzième au treizième siècle.
    • XIe siècle: progrès dans la science esthétique
      • Lan franc, abbé du Bec
      • Le B. Pierre Damien, évoque d’Ostie, et ses Sermons
      • S. Anselme de Cantorbéry, et son Elucidarium
      • S. Brunon d’Asti, et ses Ecrits liturgiques
      • L’hymne do S. Florence de Poitiers
    • XIIe siècle : les commentateurs do S. Méliton
      • Épitaphe de Frédéric, évoque de Liège
      • Expansion du symbolisme dans l’art et jusque dans la grammaire
      • Sens super-historique, justifié par ses résultats doctrinaux
        • comment l’iconographie s’en empare
      • Pierre Alfonsi; ses Traités philosophiques et son Physiologue
      • Bérengoso, et ses livres sur les Mystères de la Croix
      • Le symbolisme des deux Testaments plus sensible   que jamais
      • Honorius d’Autun; sa Perle   de l’âme; valeur de ses autres écrits
      • Le B. Rupert, abbé de Deutz; ses Divins Offices
      • Hugues de Saint-Victor, et ses Traités spéciaux
      • La colombe et le corbeau
      • Importance des travaux de cet auteur
      • Adam de Saint-Victor, et ses Proses
      • Beauté de la poésie du moyen âge
      • Suger, abbé de Saint-Denis, et son livre relatif à Son administration de l’abbaye
      • Richesse du symbolisme appliqué par lui a l’architecture de son église
        • ses vitraux, et leur parallélisme des deux Testaments
      • S. Paul moulant du blé que lui apportent les Prophètes
      • Manuscrits à miniatures
      • L’Ortus deliciarum de l’abbesse Herrade
      • Jean Béleth; son Rational de l’Office divin, et ses autres livres
        • son traité des Sibylles
        • ce qu’il dit des cloches et des sept heures canoniales
      • S. Bernard; son beau caractère
        • ses nombreux écrits
        • et son symbolisme
      • Ce symbolisme attaqué et nié par quelques archéologues modernes
        • qui vont jusqu’à nier le symbolisme lui-même
      • Comment l’auteur de ce livre combattait un des premiers ces prétentions erronées
      • Comment S. Bernard s’opposait moins aux symboles qu’à l’abus qu’en pouvaient faire des religieux
      • Magnificence des églises de l’ordre de Cluny au douzième siècle
        • simplicité de celles de Cîteaux
      • Occasion de la lettre apologétique de S. Bernard à Guillaume, abbé de Saint-Thierry de Reims
      • Mauvaises raisons tirées de cet écrit pour nier le symbolisme des sculptures du douzième siècle
      • Examen de ces raisons
      • Texte de S.Bernard
      • Fausses conséquences qu’on en voudrait tirer
        • réfutées par les termes mêmes du saint Docteur
        • qui amplifie ses griefs et omet à dessein oe qui pourrait les affaiblir
      • Il y parle plus en faveur de la pauvreté religieuse que contre le sens mystique de ces images
        • dont il sait bien d’ailleurs la vraie signification
        • comme le prouvent ses propres écrits
      • Réforme dans l’ornementation des églises de Cluny et de Cîteaux, d’après les idées do S. Bernard
      • Exemples antérieurs de cette môme rigidité, encore vivante dans les monastères de la Trappe
  • CHAPITRE XVIII. Des auteurs ecclésiastiques du treizième siècle.
    • Caractères du treizième siècle héritant des traditions sacrées et les mettant en oeuvre
    • Développements de l’art
      • et de la sainteté
    • Injustes attaques de la science moderne contre cette brillante période du moyen âge
    • Pierre de Capoue, et sa Rose alphabétique
    • Symbolisme de la rose
    • Autres ouvrages de ce savant homme
    • Meilleures tendances littéraires de ce siècle
    • Le pape Innocent III, et ses Traités divers
    • Son symbolisme accusé à tort d’exagération
    • Valeur littéraire de ses livres, et en particulier de son traité Du Mépris du monde
      • sa manière exégétique sur l’Écriture sainte
    • Symbolisme de l’encensement de l’autel au commencement de la messe
    • Les quatre anneaux d’or envoyés à Richard Cœur-de-Lion
    • Popularité de ce genre de symbolisme, prouvée encore par l’intronisation du Pontife
    • Le paon, symbole de la vigilance
    • Origine symbolique do l’ordre de la Rédemption-des-Captifs
    • Allégorie   des deux Glaives, et distinction-des deux Puissances dans la double personnalité du Pape et de l’Empereur
    • Vincent de Beauvais, et son Miroir universel
    • Supériorité de son génie
    • Son Miroir naturel
    • Cet auteur, trop peu connu, résume tout le symbolisme iconographique du moyen âge
    • Comment il adopte dans ce but les données populaires des savants
      • sa description de l’oiseau du Paradis
    • Reproches injustes faits à son style prétendu barbare
    • Beauté méthodique de son plan
    • L’anonyme du Livre de Clergie, autre encyclopédie moins vaste, mais tout aussi symboliste
    • S.Thomas d’Aquin  , et sa théologie
    • Il associe la philosophie à la théologie , qui la domine cependant
    • Dangers de la philosophie d’Aristote, signalés par Tertullien
    • Supériorité de la méthode scolastique
    • Le symbolisme pratiqué par S.Thomas
    • Les cornes ou les rayons de Moïse
    • Office du Saint-Sacrement; mérite de cette magnifique composition
    • Malabranca, et la Prose des Morts
    • S.Bonaventure  , et ses Opuscules moraux
    • Durant, évoque de Mende,et son Ralionat
      • il y résume des principes déjà publiés par ses devanciers
      • analyse de ce livre
    • La droite et la gauche attribuées à S. Paul et à S. Pierre,par Durant
    • Naïveté de ses légendes
    • Le B. Jacques de Varaze; analyse de sa Légende dorée
    • Attaques systématiques de Baillet et de Fleury contre cet écrivain
      • éloges qu’il mérita cependant
      • comment s’explique son caractère de simplicité
    • Défense des miracles contre les attaques du philosophisme
    • Valeur peu solide des premiers critiques de la Légende dorée
    • Il peut y avoir beaucoup de symboles sous ces récits, moins réels peut-être qu’allégoriques
      • comme l’histoire des Sept Dormants
    • Le symbolisme déchoit de sa gravité dès le commencement du quatorzième siècle
    • Tolérance de l’Église à l’égard des miracles purement historiques
      • dont les auteurs les plus graves   ne doutent pas
      • et qu’elle n’admet qu’avec la plus grande circonspection
    • L’histoire profane a d’ailleurs beaucoup de ces exemples, qu’on lui pardonne volontiers
    • Beaucoup de faits racontés dans les légendes peuvent bien être des visions de Saints
      • beaucoup plus fréquentes dans les âges d’une foi plus vive
      • et dont certains détails étaient de véritables symboles
    • Dante  , et sa Divine Comédie
    • Plan tout symbolique du livre
    • Patriotisme erroné de Fauteur
    • La théologie et le symbolisme jugés par ...

Ver online : Histoire et théorie du symbolisme religieux avant et depuis le christianisme