Eckartshausen — ANALOGIA A NATUREZA E A ANALOGIA Sabe-se do interesse que os Iluminados do século XVIII consagraram à física e à química; Novalis, Baader, e muitos outros, tentam interpretar os fenômenos naturais segundo as leis de uma “física superior” que não seria apreensível somente pelos métodos do empirismo. Para Eckartshausen, a natureza manifesta para ela somente a existência da cadeia analógica; basta observá-la para disto se persuadir (como em Baader, E. usa o termo hieróglifo, (…)
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Karl von Eckartshausen
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Eckartshausen Natureza Analogia
31 de dezembro de 2023, por Cardoso de Castro -
Eckartshausen (Méditations) – Le sentiment de notre existence.
18 de setembro de 2008, por Cardoso de CastroJe sens que j’existe, que je vis; je suis un être qui peut se rendre témoignage de son existence. Mon œil jouit du magnifique spectacle que présente la nature; il voit les plaines entaillées de fleurs, les prés verdoyants et les forêts majestueuses; mon oreille écoute avec délices le doux murmure des ruisseaux, les sons précipités de l’alouette, ou le chant mélodieux du rossignol.
Je respire avec ravissement le parfum des fleurs; l’aimable zéphyr, en se jouant dans ma chevelure, (…) -
Eckartshausen: LE SENTIMENT DE NOTRE EXISTENCE.
18 de setembro de 2008, por Cardoso de CastroJe sens que j’existe, que je vis; je suis un être qui peut se rendre témoignage de son existence. Mon œil jouit du magnifique spectacle que présente la nature; il voit les plaines entaillées de fleurs, les prés verdoyants et les forêts majestueuses; mon oreille écoute avec délices le doux murmure des ruisseaux, les sons précipités de l’alouette, ou le chant mélodieux du rossignol.
Je respire avec ravissement le parfum des fleurs; l’aimable zéphyr, en se jouant dans ma chevelure, (…) -
Eckartshausen (Méditations) – Sur la destinée de l’homme.
18 de setembro de 2008, por Cardoso de CastroHommes, mes semblables, qu’elle est grande, qu’elle est noble notre destinée ! ne nous trouvons-nous pas au sommet de la chaîne des êtres créés dans ce monde matériel? Nous tenons le milieu , pour ainsi dire, entre les anges et les animaux. Notre âme nous élève, par le sentiment et par la raison, à la classe des esprits, quoique la masse pesante de nos corps nous retienne ici-bas. Les facultés dont nous possédons le germe sont infinies ; il en est de même aussi de nos moyens pour arriver à (…)
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Eckartshausen: SUR LA DESTINÉE DE L’HOMME.
18 de setembro de 2008, por Cardoso de CastroHommes, mes semblables, qu’elle est grande, qu’elle est noble notre destinée ! ne nous trouvons-nous pas au sommet de la chaîne des êtres créés dans ce monde matériel? Nous tenons le milieu , pour ainsi dire, entre les anges et les animaux. Notre âme nous élève, par le sentiment et par la raison, à la classe des esprits, quoique la masse pesante de nos corps nous retienne ici-bas. Les facultés dont nous possédons le germe sont infinies ; il en est de même aussi de nos moyens pour arriver à (…)
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Eckartshausen (Méditations) – Après le réveil du matin.
18 de setembro de 2008, por Cardoso de CastroEncore une nuit écoulée ! je m’éveille, j’éprouve le plaisir d’exister. A qui dois-je ma première pensée, si ce n’est à toi, bonté infinie, à toi qui m’as donné la vie, à toi qui veillais pour moi pendant mon sommeil?
Quelle est ta bonté, Seigneur ! tu prends soin de tout ce qui respire : la moindre créature éprouve tes bienfaits. Oui, la consolante pensée que tu es nécessairement bon ne sortira jamais de mon esprit : avec quelles délices je revois ce monde où tout me la rappelle sans (…) -
Eckartshausen: APRÈS LE RÉVEIL DU MATIN.
18 de setembro de 2008, por Cardoso de CastroEncore une nuit écoulée ! je m’éveille, j’éprouve le plaisir d’exister. A qui dois-je ma première pensée, si ce n’est à toi, bonté infinie, à toi qui m’as donné la vie, à toi qui veillais pour moi pendant mon sommeil?
Quelle est ta bonté, Seigneur ! tu prends soin de tout ce qui respire : la moindre créature éprouve tes bienfaits. Oui, la consolante pensée que tu es nécessairement bon ne sortira jamais de mon esprit : avec quelles délices je revois ce monde où tout me la rappelle sans (…)