Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling

The introduction of Ages begins with the threefold structure of time. There are three fundamental categories of temporality: past, present, and future. There is a mode of knowing and a mode of description apropriate to each. One can know (wissen) the past thoroughly and therefore can narrate (erzählen) it. One can understand (erkennen) by investigation the events of the present, and can describe (darstellen) them. One can only have a presentiment of (ahnen) the future, hence it must be (…)

português
Mas podemos voltar ainda mais e até colocar em dúvida o "eu penso" – pelo menos no sentido que ele indubitavelmente tem para Descartes. A afirmação "eu penso" tem, a saber, duas fundações: (1) aquilo que pensa em mim, ou seja, por exemplo, agora exatamente duvidando; (2) aquilo que está refletindo sobre esse pensamento ou duvidando; somente quando o último reconhece o primeiro como idêntico a si mesmo digo: "eu penso". O "eu penso" é, portanto, na verdade, de modo algum algo (…)

Qual o propósito deste tratado e por que traz em seu pórtico esse título, o leitor ficará sabendo se tiver disposição ou curiosidade para ler o todo.
Somente sobre dois pontos o autor julga necessário explicar-se antecipadamente, para que este ensaio não venha, eventualmente, a ser acolhido com preconceito.
O primeiro é que nenhuma unidade artificial de princípios foi procurada ou visada neste escrito. Tanto a observação das alterações naturais em sua universalidade quanto a do progresso (…)

Leçon sept Remarques préliminaires sur la philosophie de la mythologie Le point de départ de l’analyse : la possibilité d’une altération de l’homme Les expressions répondant à cette possibilité dans la mythologie : les notions de Némésis, d’Apatè (Mâyâ), le concept de tentation
Leçon huit L’altération effective de l’homme = Archi-Hasard (Fortuna primigenia) Les traces de cet événement dans la mythologie ultérieure. La figure de Perséphone La première condition de Perséphone, comparée au (…)

La religion philosophique, telle que nous l’exigeons, n’existe pas. Mais, étant donné que, par !a place que nous lui assignons, elle a pour mission de nous rendre intelligibles toutes celles qui l’ont précédée, elle constitue le terme final du processus, depuis le commencement de celui-ci, ce qui revient à dire que sa réalisation ne peut s’effectuer ni aujourd’hui, ni demain, mais qu’elle est ce qui doit se réaliser, à quoi on ne doit jamais renoncer et qui, tout comme la philosophie, ne (…)

Schelling’s first, thoroughly subversive, move beyond the subject is the following: ‘It is not I that know, but rather only the totality (All) knows in me, if the knowledge which I call mine is a real, a true knowledge’ (ibid. p. 140). Schelling makes a clear distinction between the empirical knowledge generated in synthetic judgements and ‘knowledge’ in terms of the Absolute. He later claims: ‘The I think, I am, is, since Descartes, the basic mistake of all knowledge (Erkenntnis); thinking (…)

TABLE DES MATIÈRES.
LEÇONS SUR LA MÉTHODE DES ÉTUDES ACADÉMIQUES.
Avant-propos de l’auteur
première leçon — Sur l’idée absolue de la science
deuxième leçon. — Sur la destination scientifique et morale des académies
troisième leçon. — Sur les premières conditions des études académiques
quatrième leçon. — Sur l’étude des sciences rationelles pures , des mathématiques et de la philosophie en général
cinquième leçon. — Sur les objections que l’on fait ordinairement contre l’étude (…)

TABLE DES MATIÈRES.
Préface
Objet et plan de cet ouvrage
Chapitre Ier. Schelling à Tubingue
— II. Schelling à Leipzig
— III. Schelling à Iéna
— IV. Schelling à Wurtzbourg
— V. Schelling à Munich
— VI. Schelling à Erlangen
— VII. Schelling de retour à Munich
— VIII. Schelling à Berlin
— IX. Les ouvrages de Schelling
— X. Du style de Schelling
— XI. L’idéalisme, le scepticisme et le dogmatisme de Kant
— XII. L’idéalisme de Fichte
— XIII. La réforme de Schelling. — (…)

Il n’était pas possible de mettre à jour cet essai vieux de dix ans, sans le bouleverser entièrement. Son orientation reste peut-être valable, mais au prix d’une description trop courte : c’est la maquette d’un château dont on n’aurait représenté que l’escalier intérieur et la façade. N’ayant plus le loisir de placer les ailes ni les étages, je me suis contenté — et m’en excuse — d’alléger un exorde pesant, de substituer quelques citations plus explicites à des développements parasites et (…)