gr. θάνατος, θάνατον. "A morte é separação entre alma e corpo" (Fédon  ). "A morte nada é para nós" (Epicuro  ). "A morte não é um mal, mas o mal é a opinião de que a morte é um mal" (Epiteto  ).

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Cette définition de la mort vient du Phédon : « C’est bien cela, être mort : le corps séparé d’avec l’âme en vient à n’être que lui-même en lui-même, tandis que l’âme séparée d’avec le corps est elle-même en elle-même » (64c5-7, trad. M. Dixsaut). Plotino - Tratado 1 (I,6) - Sobre o belo (estrutura)

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La mort « naturelle » n’étant qu’une « séparation » de l’âme et du corps, il faut attendre que le corps laisse ainsi l’âme libre et pure en elle-même, comme le veut Platon  , Phédon, 62a-e ; 67c-d (mais c’est aussi l’opinion des stoïciens ; voir Épictète, Entretiens, I, 29, 28). Alors seulement, l’âme n’aura plus « besoin de se déplacer » et de s’éloigner du corps, car elle sera désormais à l’extérieur de cette prison qu’était son corps. Plotino - Tratado 16,1 (I, 9, 1) — Sobre o suicí­dio razoável

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Dans son ouvrage allégorique Sur le Styx, Porphyre   écrit : « C’est pourquoi il faut, surtout au moment de la mort, se purifier, comme dans une initiation aux mystères, éloigner de son âme toute passion mauvaise, y calmer tout désir malveillant, en bannir les jalousies, les rancunes, les colères et sortir ainsi du corps en être raisonnable » (383F Smith = Stobée, I, 49, 60). Plotino - Tratado 16,1 (I, 9, 1) — Sobre o suicí­dio razoável