gr. δυνάμεις, faculdades da alma; gr. μέρος, méros, partes da alma ou de um todo

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La psychologie de Plotin   associe la doctrine platonicienne de l’âme (notamment du Phèdre  ) et celle d’Aristote   (dans le De l’âme, trois puissances sont distinguées, le végétatif, le sensitif et le rationnel). La plus ou moins grande correspondance des deux tripartitions est exposée en détail par H.J. Blumenthal, Plotinus’ Psychology, p. 20-44. Les « facultés » ou « puissances » de l’âme ne doivent pas être pensées selon un vocabulaire corporel où les différentes fonctions correspondraient à des organes distincts ; l’âme a une unité beaucoup plus forte que le corps (voir traités 9 (VI, 9), 1, 40-42 ; 27 (IV, 3), 19, 23-28 ; puis 28 (IV, 4), 28). Le thème de l’unité indivisible de l’âme est repris dans la suite du traité Sur le beau (voir la fin du chap. 5, 54 sq.). Plotino - Tratado 1,1 (I,6,1) - Que espécies de coisas são belas

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In his Phaedo  , Plato appears not yet to have divided the soul into three parts, reason, high spirit and appetite, but instead to be assigning to the body the desires later ascribed to the lower parts of the soul. However, Simplicius   finds a division already alluded to in the phrase at Phaedo 77E, ‘The child in us’. [SorabjiPC1  :248]

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L’enchaînement des concepts de thumòs (traduit ici par colère), epithumía (désir physique) et logismòs (raisonnement) est classique chez Platon   pour désigner les trois facultés principales de l’âme (voir par exemple sur cette tripartition, République   IV 435c-441c). On la trouve aussi reprise par Aristote dans Topiques 129a11-12. Plotino - Tratado 39,2 (VI, 8, 2) — A que faculdade da alma reportar o que depende de nós?

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LÉXICO: faculdade; faculdades; dynamis