Aux moines cénobites
118. La chair du Christ , c’est le champ des vertus (la vie active), et celui qui la mange parviendra à l’« apathie».
119. Le sang du Christ, c’est la contemplation des êtres, et celui qui le boit sera éclairé par lui.
110. La poitrine du Seigneur, c’est la connaissance de Dieu , et celui qui repose sur elle sera le théologien.